Agnès Buzin, l’ancienne ministre de la Santé, en poste au début de l’épidémie de coronavirus, malheureuse aux élections municipales du printemps 2020 sous les couleurs de LREM où elle subit un échec cuisant, visée depuis le début de la crise du coronavirus par diverses informations judicaires ouvertes par la Cour de Justice de la République après des plaintes déposées contre elle et son successeur au ministère Olivier Veran, quitte les mauvais cieux parisiens pour la Suisse et l’air fétide genevois. Mais pas de panique, elle reste entre gens de « bonne compagnie ». Elle va y retrouver ces amis de la « pandémie » !
Elle intègre en effet le cabinet du directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le gourou covidesque Tedros Adhanom Ghebreyesus. La candidate malheureuse à la mairie de Paris s’y occupera des « affaires multilatérales », ce qui consiste à représenter l’institution « auprès du G7, de l’ONU ou de la Fondation Bill Gates », précise le site d’informations L’Opinion qui relaye la nouvelle.
De la République Française à l’OMS, Agnès Buzin continuera à faire ce qu’elle sait faire, ce pour quoi elle existe encore politiquement : promouvoir la révolution arc-en-ciel, et sa gouvernance mondiale !
Francesca de Villasmundo
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