D’après le compte tweeter sud-africain Stop white génocide, des militaires blancs ont signalé à leurs frères de sang que le chef d’Etat du régime racialiste en place à Pretoria a décidé de lancer une offensive armée du groupuscule raciste EFF contre les manifestants blancs pacifiques qui ont l’intention de manifester les 24 et 25 novembre prochain dans tout le pays. Les supérieurs ont annoncé aux soldats qu’ils avaient ordre de ne pas intervenir et de laisser les Blancs se faire massacrer par les milices auxiliaires du régime ANC et de son président Zuma. « Il n’y aura aucune protection pour les Blancs » précise l’informateur. Une femme a d’ailleurs témoigné, photo à l’appui qu’une tentative d’incendie de la maison de ses parents avait été commis et revendiqué par l’EFF.
Cela n’est pas sans rappeler le triste jour du 5 juillet 1962 où 5.000 Européens ont été massacrés par le régime ethno-socialiste du FLN, l’immonde général Joseph Katz (par ailleurs marié ultérieurement à une fellagha de plus de 40 ans sa cadette) ayant donné ordre au 19e Corps de ne pas bouger, gagnant le surnom de « boucher d’Oran » et poussant l’ignominie jusqu’à faire mettre aux arrêts le lieutenant Rabah Klélif, du 30e bataillon de chasseurs portés, qui – désobéissant aux ordres – sauva du massacre des centaines de femmes, enfants et vieillards européens qui allaient se faire exterminer. Katz lui lancera : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ». Par vengeance, le régime gaulliste le bloqua au grade de capitaine.
La dérive raciste du régime mandeliste refroidit même ses plus ardents collabos. Ainsi, le communiste Ronald « Ronnie » Kasrils, juif letton qui comme la plupart de ses coreligionnaires – qui ont œuvrer pour la spoliation des Afrikaners d’abord de leur liberté et de leurs richesses minières (Guerre des Boers), puis du pays qu’ils avaient bâti – a soutenu le régime antiblanc, vient de lâcher définitivement Zuma, qu’il a qualifié de « dangereux, trompeur et traître à son pays ». L’un de ses proches, le journaliste Jacques Pauw, a reçu des menaces de mort le 6 novembre. Quand un régime raciste commence à s’en prendre à ses idiots utiles, le génocide n’est pas loin. L’Afrique du Sud a été longtemps le plus gros producteur mondial d’or, contrôlant jusqu’à la moitié de la production mondiale, et ce jusqu’en 2006. Année après année, l’Afrique du Sud dégringole au classement, au point de n’être en 2014 que la 6e productrice mondiale avec seulement 5 %, loin derrière la Chine, l’Australie, la Russie, les Etats-Unis et le Canada. Les mines étant épuisés, les vautours changent de nids.
Depuis le dernier article, le nombre de Blancs massacrés augmentent : entre le 5 et le 10 novembre, sont décédés : M. Jan Hough, 64 ans, de Kakamas ; M. Bobby van Zyl, de Krugersdrop ; une jeune fille de 15 ans dont l’identité n’a pas été encore communiquée à Driefontein ; un clochard Blanc de 45 découvert mort, le bras arraché, près de la Klein Olifants River ; M. André Saaiman et son épouse Lidia, âgés respectivement de 65 et 69 ans, ont été assassinés à coups de hache à Port-Elizabeth.
Comme pour confirmer l’avenir sombre pour les Afrikaners, chassés du pays qu’ils ont créé et bâtis par des gens qui pour beaucoup n’en sont pas originaires (en 1965, 14 % des Noirs d’Afrique du Sud étaient originaires du Kenya et de Tanzanie), celle qui est présumée succéder à Zuma, son ex-épouse Nkosazana Dlamini Zuma, communiste et raciste fanatique, a déclaré son intention en cas d’accession au pouvoir de spolier les Blancs des fruits de leur travail, comme me fit Mugabe au Zimbabwe avec le succès que l’on sait.
Si les Sud-Africains Noirs ne veulent plus de leurs Blancs, la France pourrait les reprendre. Après tout, nombres de Boers ont des noms français (Rousseau, Du Toit, de Villiers), puisque descendants des Huguenots chassés par Louis XIV. On pourrait même les échanger contre les 7 millions de Noirs vivants en France métropolitaine et se plaignant constamment du « racisme ». Ce qu’on y perdrait en football (et encore), on y gagnerait en rugby.
Rendez-vous le 25 novembre pour la suite des événements
Hristo XIEP
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