Comme pour l’affaire Théo, l’affaire Traoré a été instrumentalisée par la presse de gauche (pléonasme), dans la même optique que les équivalents américains. Adama Traoré était un homme de 24 ans, connu des services de police pour des histoires d’extorsion de fonds, et décédé d’une insuffisance cardiaque lors de son interpellation par la gendarmerie. L’autopsie avait constaté que l’homme avait une infection très grave qui fut létale. Bien entendu, ses frères de race ont hurlé à la « bavure » sans la moindre preuve mais non sans le moindre soutien médiatique, la presse n’étant pas la dernière pour flatter leur paranoïa, y compris la presse étrangère, notamment The New York Times connu outre-Atlantique pour son racisme anti-blancs. Le défunt fut enterré dans son pays, le Mali. « On pleure des larmes de haine » éructèrent ses frères de race, soutenus par le politicard néo-stalinien Mélenchon (pourtant, la gendarmerie est infestée par ses frères de loge, va comprendre Charles…).

Par le truchement de son avocat, Me Rodolphe Bosselut, l’un des trois gendarmes ayant procédé à l’arrestation d’Adama Traoré le 19 juillet 2016 à Beaumont-sur-Oise, s’exprime pour la première fois sur les conditions de l’interpellation qui eut une issue tragique, l’entretien étant publié dans le quotidien Le Parisien :

« Le gendarme écarte catégoriquement que le jeune homme aurait eu à supporter le poids des trois militaires sur son corps. Il conteste la thèse défendue par la famille d’Adama Traoré, pour qui cela aurait entraîné une mécanique fatale au jeune homme, dénonçant ainsi depuis un an une bavure des gendarmes. La scène se déroule «dans l’obscurité», Adama est «en position ventrale au sol». Il se débat. Le chef de patrouille décrit tout d’abord l’action du gendarme G. : «Il s’est occupé d’immobiliser les membres inférieurs. Il a utilisé la technique d’enroulement de la jambe.» Et cite la fiche 52-02 «Maîtrise sans arme de l’adversaire – technique élémentaire» correspondant à cette technique. »

Ces déclarations sont en phase avec les conclusions des experts : deux autopsies et deux expertises anatomopathologiques (analyses des tissus). Me Bosselut déclare : «J’ai lu avec attention ce qui a été écrit sur les expertises. Elles confirment à 100 % ce que disent les gendarmes. Ce qui est aujourd’hui clairement acté, c’est qu’il n’y a pas de traces de violences. Rien qui puisse être à l’origine du décès. Le menottage et l’immobilisation des jambes n’ont pas entraîné la mort. Les traces relevées aux chevilles et à l’épaule valident la version des gendarmes. Tout comme l’absence d’hématomes au niveau du dos ou du thorax. La côte cassée étant le fruit des manœuvres de réanimation des secours. Il n’y a pas d’asphyxie mécanique. Il arrive un moment où les faits sont têtus». Et de conclure que les gendarmes, «qui sont traînés dans la boue depuis un an», n’ont reçu à ce jour aucune convocation pour être entendus prochainement par le magistrat instructeur. Ils ne sont aujourd’hui pas mis en examen.

Rappelons que cette affaire a eu des répercutions, notamment en matière de violences urbaines :

– Le jour même du décès du jeune homme, six gendarmes ont été blessés par des tirs d’armes à plombs.

– Le 20 juillet 2016 (le lendemain), des individus ont jeté des objets incendiaires sur les forces de l’ordre et ont tenté d’incendier des bâtiments publics. 15 voitures dont 2 de la police municipales ont été incendiées, 35 feux allumés sur la voie publique et 4 bâtiments dégradés (dont deux, la mairie et une école maternelle, victimes d’une tentative d’incendie).  Il y eut 8 interpellations. Selon l’AFP, plusieurs explosions ont été entendues.

– Le 23 juillet 2016, quatre gendarmes ont été blessés par des émeutiers, notamment dans la cité du Village, à Persan, et dans le quartier de Boyenval. Dix voitures supplémentaires ont été incendiées et dix émeutiers interpellés.

– le 23 septembre 2016, on apprend que trois des gendarmes de Persan ont été mutés suite aux menaces de morts contre leur famille proféré en toute impunité par des gangs raciaux liés au clan Traoré.

– Le 17 novembre 2016, nouvelle émeutes à Beaumont-sur-Oise, une policière municipale étant passée à tabac en marge du conseil municipal. Il est vraie que la mairesse de la ville, Nathalie Groux (UDI) avait porté plainte la veille contre la sœur d’Adama Traoré pour diffamation.

– Le 23 novembre 2016, deux des frères de Traorén Youssouf et Bagui, ont été interpellés pour outrage à agent, violences et menaces de mort. Le conseil municipal fut annulé par précaution.

– Le 24 novembre 2016, en réaction à l’arrestation de la veille, des émeutes éclatèrent encore, provoquant l’incendie de 7 véhicules dont 1 bus.

– Le 7 décembre 2016, terrorisée par les émeutiers, la mairesse retire sa plainte.

– Le 6 mars 2017, les deux frères d’Adama Traoré susnommés sont une nouvelle fois interpellés pour avoir tabassé le 25 février un ancien codétenu d’Adama qui avait accusé ce dernier de viol. Une famille en or, assurément… L’un d’eux gagna 18 mois fermes.

– Le 22 juillet 2017, nouvelle manifestation, cette fois colorée d’islamisme, pour réclamer « justice ». Les gendarmes sont attaqués par 40 tirs de mortiers, trois blessés…

Une qui y gagna dans cette affaire, c’est la sœur jumelle du défunt, Assa Traoré. Soutenue par Omar Sy, Kerry James, Youssoufa, Jean-Luc Mélenchon et Olivier Besancenot, flattée dans sa rancœur par de nombreux organes de presse séduits par son arrogance, elle monnaya l’affaire en se faisant embaucher dans les organes de propagande officielle, notamment par Mouloud Achour, de Canal Plus. Le torchon d’extrême gauche Mediapart, fondé par Edwy Plenel dont le père avait été révoqué de l’Education nationale pour « menées antifrançaises » en a même fait la « Présidente d’Honneur » de la France. Il suffit de lire sa « La Lettre à Adama », long hululement de haine raciale (écrite probablement par Elsa Vigoureux) pour se rendre compte que dans la famille Traoré, c’est toujours la bonne pioche…

Hristo XIEP

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