Voici les données chiffrées de ces abus, telle que communiquées par le rapport du 40e Grand Jury d’investigation étatique :
- A 23 %, il s’agissait de prédation hétérosexuelle.
- A 73 %, il s’agissait de prédation homosexuelle.
- A 4 % il s’agissait de pornographie enfantine, sans abus matériels.
Donc 3 prédateurs sur 4 étaient gays…
- 17 % des cas relevaient de la pédophilie (6 % de filles, 11 % de garçons)
- 76 % des cas relèvent de l’éphébophilie (60 % de pédérastes et 16 % d’amateurs de lolitas).
- 2 % des cas relèvent de l’homosexualité classique (homme adulte).
- 1 % des cas relèvent de l’hétérosexualité classique (femme adulte).
En remettant les choses par strates, nous avons donc dans cette affaire américaine :
- 60 % de pédérastes
- 16 % d’amateurs d’adolescentes
- 11 % de pédo-gays
- 6 % de pédophiles
- 4 % d’amateurs exclusifs de pornographie pédophile sans passage à l’acte.
- 2 % de gays
- 1 % d’hétéros.
Chiffres qui clouent définitivement le bec aux propagandistes cathophobes, qui se moquent bien des victimes, mais qui profitent de l’occasion pour calomnier l’église. On attend toujours la réaction d Act Up, alors que ¾ des abuseurs dans cette histoire sont des gays (un taux inférieur à la normal qui était de 91 % dans des affaires similaires).
Hristo XIEP
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