Dernière bombe à retardement de la criminelle politique d’ouverture à la déviance sexuelle prônée en son temps par le sinistre Cardinal Bernard Francis Law, cette remontée de vieilles affaires d’abus sur des jeunes dans les diocèses qu’il avait sous son administration, et notamment celui de Philadelphie. Devant les campagnes haineuses et les fausses informations déversées par le puissant lobby cathophobe, donnent quelques chiffres….
Voici les données chiffrées de ces abus, telle que communiquées par le rapport du 40e Grand Jury d’investigation étatique :
- A 23 %, il s’agissait de prédation hétérosexuelle.
- A 73 %, il s’agissait de prédation homosexuelle.
- A 4 % il s’agissait de pornographie enfantine, sans abus matériels.
Donc 3 prédateurs sur 4 étaient gays…
- 17 % des cas relevaient de la pédophilie (6 % de filles, 11 % de garçons)
- 76 % des cas relèvent de l’éphébophilie (60 % de pédérastes et 16 % d’amateurs de lolitas).
- 2 % des cas relèvent de l’homosexualité classique (homme adulte).
- 1 % des cas relèvent de l’hétérosexualité classique (femme adulte).
En remettant les choses par strates, nous avons donc dans cette affaire américaine :
- 60 % de pédérastes
- 16 % d’amateurs d’adolescentes
- 11 % de pédo-gays
- 6 % de pédophiles
- 4 % d’amateurs exclusifs de pornographie pédophile sans passage à l’acte.
- 2 % de gays
- 1 % d’hétéros.
Chiffres qui clouent définitivement le bec aux propagandistes cathophobes, qui se moquent bien des victimes, mais qui profitent de l’occasion pour calomnier l’église. On attend toujours la réaction d Act Up, alors que ¾ des abuseurs dans cette histoire sont des gays (un taux inférieur à la normal qui était de 91 % dans des affaires similaires).
Hristo XIEP
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !