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Adel Sidi Yakoub, en tant que « bon musulman », liste les règles que sa future femme va devoir respecter

Liste des règles imposées à sa femme par Adel Sidi Yakoub

Le footballeur musulman français influenceur sur Tiktok, Adel Sidi

Yakoub, explique ce que n’aura pas le droit de faire sa future femme.

Adel Sidi Yakoub est un influenceur français, suivi par plus 780 000 accrocs des réseaux sociaux, qui fait la promotion de l’Islam sur les réseaux sociaux et en particulier des règles qu’il faut respecter pour être « Un bon musulman ».

Voici les cinq règles qu’il énonce de façon très officielle dans une vidéo intitulée : “Ma femme n’aura pas le droit”.

Règle n°1 : Interdiction d’avoir des amis garçons. “Interdiction de travailler dans un travail où il y a des hommes” : le jeune homme explique qu’il ne veut “que des femmes” autour de sa femme, et que dans un monde idéal, le travail est fait “à la maison”.

Règle n°2 : Travail mixe interdit. “Interdiction de partir en voyage sans moi” : pour Adel, les voyages de sa femme avec ses potes “elle oublie”, mais elle aura en cas de force majeure le droit de voyager “avec des hommes de sa famille, c’est tout”.

Règle n°3 : Interdiction de partir en voyage sans moi. “Interdiction de s’habiller avec des habits moulants”, parce que pour Adel “le corps de ma femme il est à moi”.

Règle n°4 : Interdiction de mettre des habits moulants ou vulgaires. “Interdiction de s’exposer sur les réseaux sociaux” : Oui, Adel est influenceur, il gagne sa vie grâce à sa visibilité sur les réseaux sociaux (TikTok, Snapchat), mais quand il s’agit de sa femme : “elle, c’est interdit”.

Règle n°5 : Interdiction de s’afficher sur les réseaux. Une longue liste d’interdictions très contraignantes qui devrait compliquer les recherches de Adel, qui ne semble pas inquiet pour autant. Il trouve d’ailleurs que ses règles sont “très raisonnables”.

Voici la vidéo sur laquelle le ministre des dissolutions, Gérald Moussa Darmanin, ne trouve rien à redire :

Quant aux féministes, elles sont totalement absentes d’un combat qui ne les intéresse pas puisque Adel Sidi Yakoub n’est pas un mâle blanc colonialiste, mais un « bon musulman » bénéficiant de l’absolution intersectionnelle des minorités oppressées.

Inutile de rappeler que Sidi Yakoub [Sidi signifie « seigneur » en arabe] ne fait que rappeler les règles édictées par le coran en matière des « droits » de la femme musulmane…

Paul DEROGIS

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