L’épouse de Vincent Lambert – qui n’est toujours pas en « fin de vie » – a finalement décidé de demander au Conseil d’Etat de signer l’arrêt de mort de son mari (de faim et de soif), en faisant appel de la décision du tribunal administratif de Châlons en Champagne, qui avait ordonné la 16 janvier la reprise de son alimentation.
Le docteur Kariger, chef du service où il est « soigné », et le CHU de Reims, vont se joindre à cette demande selon Marysol Touraine, ministre de la « Santé »…
On ne peut que s’inquiéter du sort qui va être réservé à Vincent Lambert, dont la vie, menacée par des médecins homicides, est anormalement entre les mains des juges. Le Conseil d’Etat, depuis quelques temps, ne faisant guère preuve ni de sérieux ni d’indépendance. La vie de Vincent Lambert ne vaut-elle pas mieux que la quenelle de Dieudonné ?
A quand le « Ministère de la Mort », dans le gouvernement Hollande ?
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et l’ignoble macron diffuse des tracts pur montrer le bien qu’il a exercé pendant son mandat! Quant à la racaille dans les ehpads, on croit rêver, un cauchemar naturellement
En voilà une idée quelle est bonne : faire garder des moutons sans défense par des jeunes loups qui pourront les dépouiller sinon les violer à l’occasion ; dans le meilleur des cas ils ne riquent rien en insultant des vieux coufars. Auront-il (elles) lobligation vaccinales si chèrement refusée par le Yéti qui ne veux pas que ses petits chéris soient des cobayes ? Autre suggestion : pourquoi ne pas remplacer les viglies et tous les services de sécurité, notamment ceux gardant les banques, par des détenus pendant la journée pour permettre aux banksters de faire des écononomies avec de mini salaires qui seront reversés à l’administration pénitentiaire. Risque de dérappage dites-vous… mais noooon ce n’est qu’un sentiment sans fondement.
Je reste sans voix devant l’ineptie de ce genre de truc ! Remplacer un personnel compétent par des malfrats là fallait oser… Mais les c..s ça osent tout n’est-ce pas ?!!!
À ce jour, Santé Publique France décompte 90.151 décès AVEC DIAGNOSTIC COVID-19 dans les hôpitaux. Le chiffre global est de l’ordre de 115.000 décès. Saura-t-on un jour combien de 25.000 décès en dehors des hôpitaux sont le résultat de soins (définitifs) au Rivotril, dès qu’un malheureux pensionnaire éternuait ou toussait ? Pour mémoire, pour 600.000 pensionnaires, le nombre de décès représente une mortalité de plus de 4%, soit 40 fois plus qu’en dehors des EHPAD (80.000/68.000.000).
Comme lors de la canicule de 2003, cette surmortalité a-t-elle permis de « réaliser des économies » pour la SS, et en particulier pour la branche « retraite » ?
Et pourquoi pas confier la clef du coffre-fort à un kleptomane ?
l’Agence Régionale de santé ne voit pas la différence entre une personne condamnée et une personne honnête, c’est que sans doute il n’y en n’a plus dans son esprit