Sidney Amiel, ancien avocat spécialiste du droit social, est accusé d’un viol sur une ancienne collaboratrice et de plusieurs agressions sexuelles qui se seraient déroulées au sein de son cabinet sur deux clientes et une secrétaire.
L’individu nie les faits et a trouvé l’argument massue : il crie au « complot policier, professionnel et antisémite », ourdi au sein du barreau de Chartres !
Pourtant, il ne s’agit pas des premières accusations portées contre lui. Son ex-belle fille l’avait accusé d’attouchements sexuels alors qu’elle était mineure et l’avait qualifié de « pervers ». « A cause de lui, le sexe était juste présent tout le temps à la maison », avait-elle déclaré. Une trentaine de victimes présumées, collaboratrices, clientes ou stagiaires, avaient témoigné lors du premier procès. Toutes décrivaient des gestes déplacés, des caresses imposées ou bien encore des propositions ou plaisanteries graveleuses, des faits aujourd’hui prescrits dans leur majorité.
L’un des experts qui l’a examiné estime que « la sexualité imprègne le psychisme de M. Amiel ». Il « méconnait ce qu’il y a d’agressif et de sexuel dans ses gestes » à l’égard de son entourage féminin « et l’effet que cela peut produire ».
Son procès devrait se terminer le 26 octobre.
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Restons prudents.
L’air du temps véhicule aussi une propension regrettable des femmes à se dire violées.
Il faut des preuves irréfutables pour parler de viol.
Il faut surtout qu’elles crient très fort durant le viol.
Les preuves matérielles sont souvent absentes dans une affaire de ce genre. Néanmoins lorsqu’il y a une pléthore de plaignantes n’ayant rien de commun entre elles , on peut dire qu’il y a une suspicion légitime.
C’est un peu comme avec les chambres à gaz : les preuves matérielles sont plutôt faibles, par contre les témoins sont légions, et il ne viendrait pas à l’esprit de quelqu’un de raisonnable de les contester.
Pour l’instant, pas de preuves, des suspicions, des attouchements, des propositions graveleuses mais cela ne suffit pas à envoyer un homme en prison,heureusement,il peut contester, c’est son droit,qu’ils soit juif ou pas ne change rien au dossier.
Je suis déraisonnable,j’attends l’instruction de l’affaire avant de jeter l’opprobre sur un homme.
Et comme dans beaucoup d’affaires de casser gratuitement sa vie.
Je suis justement chrétien.
Puisque les témoins sont légions, citez-en cinq et qu’ils nous racontent comment cela se passait.
Pourquoi Pas ?
https://www.youtube.com/watch?v=hBi71i7zQ08
ILS ont ça dans leurs gènes !