La ville de Zurich a pris mercredi soir la décision de ne plus permettre à l’opinion publique de connaître l’origine des délinquants. Il s’agissait d’une demande des élus de gauche qui imaginent duper ainsi la population et l’empêcher de faire le lien entre immigration et insécurité.
Le Législatif zurichois a aussi entériné un projet qui oblige les agents de police à remettre une quittance aux individus qu’ils ont contrôlés afin qu’ils ne soient pas importunés plusieurs fois par jour. Une mesure déjà prise dans d’autres pays européens. Il s’agit d’une revendication des associations « antiracistes » qui prétendent en finir « avec les délits de faciès ».
La Ville de Zurich suit de la sorte les recommandations de la Conférence suisse des commandants des polices cantonales.
Vaud et Genève font pour l’instant de la résistance et considèrent que l’origine d’un délinquant ne doit être gardée secrète que lorsqu’elle pourrait permettre d’identifier l’auteur. «On ne dira pas qu’il est Chinois s’il habite un petit village et qu’il est le seul à y vivre», illustre un policier vaudois.
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