C’est le journal Libération – peu suspect de déviance nationaliste – qui l’annonce :
Depuis le 26 novembre, plusieurs dizaines de mineurs isolés étrangers et leurs soutiens occupent deux bâtiments universitaires, où ils dorment et suivent des cours. (…)
(…) le président de l’université de Nantes entend jouer «un rôle de médiateur» entre le collectif et les pouvoirs publics. «Quarante chambres» en cité universitaire vont donc être réservées «prioritairement aux migrants étudiants» à partir du 1er février 2018, quand les étudiants étrangers venus pour un semestre en France auront regagné leurs pays. Olivier Laboux a donc invité vendredi les migrants à s’inscrire à l’université : la présidence prendra à sa charge leurs frais d’inscription et leurs frais de restauration seront assumés par le CROUS.
Et pendant ce temps, des étudiants français se serrent la ceinture pour payer leurs études…
Question annexe : sur base de quelle scolarité préalable ces immigrés arrivés illégalement en France et auxquels on offre tout vont-ils soi-disant devenir des étudiants universitaires ? Pas besoin de diplôme, pas besoin de passer un examen d’entrée, il suffit d’être un « migrant »…
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