« À l’heure actuelle, rappelle un article de Inside Over, seuls sept pays ont effectivement légalisé (avec la conditionnalité nécessaire) l’euthanasie active et quatre d’entre eux (Belgique, Pays-Bas, Luxembourg et, depuis juin, Espagne) sont situés en Europe continentale. Un cas distinct est celui marqué par la Suisse, où l’euthanasie n’est pas autorisée mais est remplacée par la possibilité d’une « assistance passive au suicide […].
« Un cas particulier, en revanche, est celui de la France, qui, bien qu’elle n’ait pas de position tranchée vis-à-vis de l’euthanasie dans sa législation (la rendant en fait irréalisable), permet cependant au patient de choisir l’état de « sédation continue » dans l’attente de la mort naturelle. »
Ainsi, tandis que d’un côté, pour lutter contre la covid entraînant le décès de personnes âgées qui de l’aveu même des nombreux médecins seraient décédés dans l’année, les gouvernements imposent des restrictions sanitaires radicales qui mangent sur les libertés fondamentales en prétendant « sauver des vies », de l’autre la mort artificielle, la « douce mort » est légalisée en Espagne, en passe de l’être au Portugal et examinée en France à travers une proposition de loi sur le suicide assisté.
L’hypocrisie de notre temps apostat et covidien explose dans ce « en même temps » pervers dévoilant une volonté orgueilleuse de l’homme post-moderne qui, se prenant pour Dieu, s’essaye à commander la mort.
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !