Lors de son intervention au Forum économique mondial de Davos, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a prédit une prochaine pandémie dont les futurs vaccins nécessiteront « plusieurs injections » et a appelé à une « infrastructure numérique » pour savoir « qui a été vacciné et qui ne l’a pas été« .
Tony Blair intervenait dans le cadre d’une table ronde consacrée à « la prochaine pandémie » dont il semble déjà fort bien informé puisqu’il a déclaré que les « vaccins qui arriveront sur la ligne seront des injections multiples ».
Il s’est aussi fait l’avocat de « la numérisation des soins de santé ».
Autre intervenant à la même table ronde, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a assuré lui-même le tressage de sa couronne de lauriers et vanté ses propres mérites. Il s’est également félicité de l’excellente collaboration entre les grandes sociétés pharmaceutiques et les régulateurs censés contrôler les produits médicaux, collusion en vérité extrêmement préoccupante et illustrée par l’exemple révélateur de l’ancien commissaire de la Food and Drug Administration (FDA) américaine Scott Gottlieb qui a rejoint le conseil d’administration de Pfizer en 2019, quelques mois seulement après la fin de son mandat à la tête de la FDA. Depuis, il est apparu que, quel hasard, Gottlieb avait fait pression sur Twitter pour qu’il censure les informations vraies sur les injections contre le Covid.
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