Médias-presse-info évoquait ce week-end le concours Eurovision de la chanson cette année remporté par « une femme à barbe » pour le plus grand plaisir des téléspectateurs européens lobotomisés par leur lavage de cerveau télévisuel quotidien et se complaisant effrontément dans leur médiocrité.
Si nous devons bien constater, dépités, que l’atmosphère est de plus en plus malsaine dans ce qui fut autrefois l’Occident chrétien, c’est à nouveau un vent frais venu de l’est qui nous revigore quelque peu et nous empêche de complètement désespérer de la nature humaine. En effet, l’Eglise orthodoxe russe n’a pas manqué de resituer les choses et de fulminer contre la voie de perdition dans laquelle s’est engagé le monde moderne.
Vladimir Legoyda, directeur du département synodal d’information du patriarcat de Moscou, s’est exprimé en ces termes pour l’agence Interfax-religion : « C’est un nouveau maillon dans la chaîne de légitimation culturelle du vice dans le monde moderne, une tentative de fixer de nouvelles normes culturelles. Ce processus de légalisation de choses que la Bible qualifie d’abominations n’est pas nouveau. Malheureusement, la tendance avance en parallèle dans les champs légal et culturel. » Le responsable orthodoxe a également ajouté : « La culture moderne, hélas avec assez bien de succès, reconnaît tenter de changer les valeurs morales et culturelles. […] En d’autres mots, c’est une étape supplémentaire dans le rejet de l’identité chrétienne de la culture européenne. »
Alors que, pendant ce temps, la théorie du genre sévit dans l’Hexagone, on entend bien (trop) peu les évêques catholiques de France…
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