L’Église conciliaire se perd dans les contradictions sans même s’en rendre compte.
Alors qu’éclate au grand jour ce qui sera certainement un des plus grands scandales de l’histoire de l’Église post-concile, la corruption homosexuelle d’ecclésiastiques notoires mêlés à de sombres affaires de mœurs impliquant notamment des enfants et des adolescents, les évêques de Nouvelle-Zélande ont pris la décision de dédouaner les pratiques contre-nature.
L’archevêque de Wellington et vice-président de la Conférence Épiscopale Néo-zélandaise, le cardinal John Dew, a proclamé récemment :
« Nous [les évêques néo-zélandais] reconnaissons humblement nos erreurs en particulier par rapport à des groupes déterminés comme la communauté Lgbt, qui s’est sentie très fortement rejetée par l’Église. Peut-être nous n’avons pas fait assez aussi pour venir à la rencontre des besoins des communautés issues d’une récente immigration. »
Cette déclaration ferait suite, paraît-il, à un sondage d’où ressortirait que 47 % des sondés se sont éloignés du christianisme à cause de son attitude envers les personnes homosexuelles. A la remorque des modes contemporaines, les prélats conciliaires préfèrent donc se soumettre aux diktats de la Gaystapo plutôt que de rester ancrés dans la saine et sainte doctrine catholique.
Depuis que Vatican II a voulu ouvrir l’Église au monde moderne, c’est ainsi que vogue la galère conciliaire, aujourd’hui battant pavillon arc-en-ciel, symbole de l’a-civilisation nihiliste de Notre Temps apostat post-moderne… La corruption de la doctrine finit dans les eaux sales de la corruption des mœurs !
Francesca de Villasmundo
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Le changement c’est maintenant …. Qu’on vous dit
Et que chacun de nous sache que ; qu’il ai voté pour ou contre ; « les impôts augmentent » les taxes suivent ETC ; sauf les services …
Je crains que l’article soit retard d’un métro:
– La récession est un baisse de la croissance, le terme est aussi utilisé pour décrire une légère baisse de l’activité économique.
– La déflation est une baisse de prix, nous y sommes déjà, lorsque la conjoncture est mauvaise, cela signifie souvent que les entreprises ne vendent plus leurs produits.
Il me semble que nous arrivons à l’étape suivante qui est la dépression c’est à dire une baisse brutale de l’activité économique, tous les ingrédients sont réunis : la baisse des prix qui va entraîner des fermetures d’entreprise et des licenciements, les augmentations d’impôts qui vont détruire la demande des ménages, l’endettement colossal de l’état et l’abandon de la maîtrise de la monnaie qui ne permet plus la relance publique (même en arrivant en mendiant auprès de l’europe).
Certaines entreprises qui travaillent à l’exportation hors europe arriveront probablement à s’en sortir mais les autres …
Dans les pires crises, il y a toujours des niches d’activité et des cas particuliers qui s’en sortent mais globalement nous allons vers une dépression économique et je crains qu’il soit trop tard pour l’éviter.
Merci l’euro, merci l’europe !
Le carré magique est détruit,la stagflation vient.
[…] Xavier Celtillos […]