Selon La Provence, une centaine de jeunes de Génération identitaire « ont lancé « ce samedi matin une opération coup de poing dans la Vallée de la Clarée, à la frontière franco-italienne, dans les Hautes-Alpes. » Parmi eux, principalement des Français « mais également des Italiens, des Hongrois, des Danois, des Autrichiens, des Anglais et des Allemands sont en train de grimper en raquette le col de l’Échelle enneigé pour « contrôler la frontière ». Ce groupe est très actif depuis plus d’un an dans les Hautes-Alpes, -et pourtant les gros médias n’en parlent pas-, pour protester contre l’envahissement migratoire de clandestins, Ainsi des ditributions de tracts à la sortie des lycées à Gap, le chef-lieu du département. Ce sont eux aussi qui avaient déployé une immense banderole sur la mosquée de Poitiers en construction, pour laquelle ils ont été très lourdement sanctionnés par les tribunaux, ou encore ils avaient affréter un bateau pour arrêter ceux des ONG qui déversaient illégalement des immigrants en Europe avec la complicité des mafias et autres passeurs.
« Ils ne vont pas trouver un Eldorado »
« Nous dénonçons un manque de courage des pouvoirs publics. Avec un peu de volonté, on peut contrôler les migrations. Nous allons prendre possession du col [de l’Echelle] et veiller à ce qu’aucun clandestin ne puisse entrer en France. Nous allons expliquer aux migrants que ce qui n’est pas humain c’est de leur faire croire que traverser la Méditerranée ou grimper le col enneigé n’est pas dangereux. Ils ne vont pas trouver un Eldorado« , explique Romain Espino, porte parole du mouvement.
Le col de l’Échelle est un lieu symbolique : c’est l’endroit par lequel passe les migrants pour rejoindre la France.
Une intervention qui arrive alors que le gouvernement est en train d’étudier son projet de « loi asile-immigration ».
Sur la vallée de la Roya, principale porte d’entrée des migrants d’Italie vers la France jusqu’au printemps, la nasse policière s’est refermée. Cette fois, on ne passe plus. C’est au Nord que s’est désormais reporté le flux des réfugiés : plus de 1500 personnes, principalement venues du Mali, de Guinée, de Côte d’Ivoire ont traversé par la montagne depuis le début de l’année, jusqu’à Briançon, dans les Hautes-Alpes. Un flot exceptionnel et inédit ici. Les points de traversée se font au col de l’Échelle, à 1762 m d’altitude, ou bien par la route de Montgenèvre. Deux passages aisés aux beaux jours, le long de routes carrossables, qui s’achèvent, en France, dans la belle vallée isolée de la Clarée. Mais depuis deux semaines, alors qu’un froid intense et d’exceptionnelles chutes de neige se sont abattues sur le Briançonnais, et tandis que la pression des contrôles de police se renforce, le risque est devenu mortel : en baskets, parfois sans chaussettes, des migrants tentent chaque jour le passage de la frontière. Six heures de marche, parfois par -20º, six heures à « brasser » dans une neige qui vous monte à hauteur du ventre, de la poitrine. Une situation « critique » qui mobilise les secouristes du Peloton de gendarmerie de haute montagne, mais aussi une discrète et efficace armée de bénévoles.
Ils sont guides ou accompagnateurs de haute montagne. Leur journée de travail achevée, ils sont, chaque soir, au moins deux à rechausser les raquettes pour partir au devant des migrants en perdition : « Avec ce qui tombe, on pensait qu’ils ne tenteraient plus de passer, s’alarme ainsi Jean-Gabriel, guide de 66 ans. Mais ils continuent. C’est dramatique. » Au printemps, chacun ici en est déjà convaincu, on retrouvera des corps dans les ravins, les abords des routes recouvertes de neige entre Brandonecchia et Névache, l’un des petits villages fichés au pied de la montagne. Alors, bravant le froid, les contrôles accrus de la Paf, les reconduites de nuit à la frontière, les bénévoles continuent. Épuisés et en colère face à un État qui, selon eux, les laisse seuls gérer l’urgence. Ils sont les premiers de cordée. Derrière, appuyés par une poignée d’élus de tous bords, les médecins de l’hôpital de Briançon, c’est une armée de volontaires – vieux militants, jeune garde libertaire, catholiques à la fibre sociale, mais aussi simples habitants de la vallée qui ne s’étaient jamais engagés- qui prend le relais. Un extraordinaire élan de solidarité, celui des gens de montagne, qui s’est organisé, autour de lieux d’accueil (la CRS, Chez Marcel) où des centaines de bénévoles habillent, nourrissent et soutiennent dans leur périple administratif ces voyageurs du bout du monde. Des dizaines les transportent et les hébergent aussi chez eux. Mais combien de temps ? L’hiver arrive. Il sera dur sur le Briançonnais. Source: Le Dauphiné du 16/12/2017 relayé par La Provence.
Information ou propagande mensongère ?
La dernière partie de cet article du Dauphiné Libéré qui dresse une image à faire pleurer Margot dans sa chaumière d’une troupe de bénévoles hauts-alpins portant secours avec les moyens du bord aux immigrés, est très peu crédible. S’il est difficile de dissimuler aux habitants ce qui se passe à leur frontière, en contre-partie les prendre par les sentiments peut anéantir toute tentative de réaction hostile. En effet, l’auteur de l’article ne parle pas de la part des secours professionnels en montagne dans ces sauvetages, ni de celle des aides sociales. Ce sont pourtant ces services de l’État qui œuvrent en priorité pour secourir les immigrés clandestins, tout comme les bateaux de la marine italienne en Méditerranée. Quant aux ONG qui interviennent, elles ne sont probablement pas occupées par des bénévoles des Hautes-Alpes (ou en grande minorité) mais par des gens extérieurs au département, pour qui toute frontière doit être abattue.
Le 9 avril dernier, Le Daphiné Libéré faisait part de l’asphyxie de Briançon par l’afflux d’immigrés, alors que certains élus les élus jugaient ces actes « inacceptables » et demandaient l’évacuation de la gare. »
Extrait du communiqué de Génération identitaire:
Ce samedi 21 avril à 9h, une centaine de militants de Génération Identitaire ont pris position au col de l’Échelle, à 25 km de Briançon, dans les Hautes-Alpes, afin de barrer la route aux migrants clandestins. Nos équipes quadrillent la zone et stopperont toute tentative de s’introduire illégalement en France.
Depuis l’été 2017, le flot de clandestins empruntant ce passage ne cesse de grandir. Plus de 2 000 immigrés illégaux ont déjà été officiellement été comptabilisés. Combien en réalité ? Le gouvernement Macron refuse de sécuriser la frontière : nous allons lui prouver qu’avec de la volonté, c’est parfaitement possible. Plutôt que de débloquer des fonds pour créer de nouveaux centres d’accueil pour les migrants clandestins, ce sont les budgets de la PAF (Police Aux Frontières) qui devraient être musclés.
Une opération sur le terrain qu’on peut mettre en parallèle avec les rosaires aux frontières: « En nom Dieu, les hommes combattront et Dieu donnera la victoire. » Sainte-Jeanne d’Arc. Car existe-t-il des racines vivaces sans la sève qui les alimentent ? Les racines chrétiennes de l’Europe ne peuvent vivre que si elles sont drainées par la foi.
Voir aussi:
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En tant que FRANCAIS on ne peut-être qu’avec EUX ! vive G.I.
Bien d’accord avec vous !
J’habite vallée de la Clarée, je vois passer des « migrants » de jeunes hommes surtout parfois des adolescents, à croire qu’ils ont abandonné leurs mères, filles, soeurs aux mains des vainqueurs! rien à voir avec les résistants que les gens du pays ont aidé pendant la dernière guerre; Victimes de leur »bon coeur » les français se trompent de combat et n’aident pas les nécessiteux qui sont , .près d’eux à leurs portes trop simple n’est-ce pas, quelle gloire pourraient-ils en tirer ? OUI, vive Génération Identitaire !!
Ce laxisme de l’Etat depasse tout entendement
Avons-nous le droit d’être identitaire en France ?
OUI
NON
21/12/201
Twitter censure Génération Identitaire ! N’est-ce pas inadmissible !
Je suis identitaire et c’est mon droit et devoir de l’affirmer.
Même un animal sauvage a une identité, celle de son groupe.
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Tout peuple a une identité culturelle, et y est attaché comme l’enfant dans le ventre de sa mère, comme tout être respectueux de ses parents et aïeux.
Etre français, c’est un précieux héritage millénaire ; ce n’est pas détenir un bout de papier qui attribuerait droits de dénigrer l’évolution spirituelle, les coutumes, les principes du peuple français, qui permettent de définir ce qu’il est, et dont il n’a pas à se repentir, pour se plier à la domination d’une autre culture, qui risque fort d’être rétrograde dans le pays de la déclaration des Droits de l’Homme.
Un Humain qui fait fi de son identité, c’est qu’il y renonce pour en prendre une autre, par choix ou contrainte.
Dans ce dernier cas, ont toujours, en France, émergé des résistants pour s’opposer à ceux, traites à notre identité, collaborateurs de conquérants, qui cherchent à nous en priver.
Le droit à l’identité est celui de la liberté et du respect auxquels tout Humain aspire, naturellement.
Je suis identitaire parce que je suis légitimement attaché à la culture de mon pays ; ma carte d’identité en témoigne, mon cœur et mon esprit me le prouvent ; ce n’est pas à une époque où l’on cherche à la mettre en danger que je vais la dissimuler, mais, au contraire, la revendiquer, selon mon droit le plus élémentaire.
Ceux qui n’apprécient pas la culture qui identifie notre pays et son peuple, nullement raciste, n’ont qu’une seule chose à faire, s’expatrier ou aller dans une région qui convient à l’identité dans laquelle ils se reconnaissent, et y seront heureux.
Si la justice pénalise le citoyen qui affirme son identité ou attachement à la culture de sa patrie, n’est-ce pas elle qui devrait être sanctionnée pour la ramener sur la voie du bon sens et de la raison ?
Pierre Gouverneur
https://www.mesopinions.com/sondage/droits-homme/avons-droit-etre-identitaire-france/7801
Etre identitaire ce n’est pas être extrémiste, mais être normalement attaché à la culture de son pays et résister à ceux qui la mettent en danger.
Toujours d’accord ! Identitaire ? oui moi aussi !
Je lis sur RT FRANCE , que les « no borders » italiens viennent de faire passer une colonne de migrants à Montgenêvre sous les yeux des policiers qui ne bougent pas .
Mais dans quel pays vivons nous ?
Non seulement les policiers ne bougent pas mais tout le monde se connait, sait « qui »est « qui »et qui fait quoi…bcp de personnes du hameau que j’habite y sont allé !!! J’espère que l’été prochain les français iront se promener ailleurs pour ne pas entretenir tous ces gens qui se pensent au-dessus de la loi, le préfet est au courant, les gradés de la gendarmerie aussi, tout le monde laisse faire; les gens de la région jouent sur du velours..les touristes les engraissent et qui me dira d’où provient cette aide que touche la municipalité pour réaménager le centre ville (plus d’1 million d’euros!!!)
Donc si nous comprenons bien la situation, les collabos ne sont pas exclusivement les élus et/ou hommes politiques, mais bien avant tout,les « gens du pays » !
Réveil français Bravo les patriotes car oui la république française est en danger et nos valeur et nos entreprises et notre civilisation.Urgence