En Australie a lieu actuellement un référendum par voie postale sur un projet de loi qui veut introduire « le mariage » de personnes de même sexe.
A la suite de l’évêque de Parramatta, Vincent Long, appartenant à l’ordre franciscain, qui s’est prononcé sur ce référendum en émettant des accusations par rapport à l’attitude de l’Église, dans le passé, envers les homosexuels et autres déviants, c’est au tour de Mgr Bill Wright, évêque de Matiland-Newcastle, de s’exprimer sur la question dans l’hebdomadaire diocésain Aurora :
« Dans une société dans laquelle les relations homosexuelles sont légalisées et les couples homosex peuvent adopter et éduquer des enfants c’est une sorte d’anomalie juridique le fait que leur relation en soi n’ait pas un clair statu légal. Il serait donc bon que les couples homosexuels aient un espace dans les structures reconnues plutôt que d’en être exclus. »
Il a ensuite ajouté, -et Mgr Long avait à peu près tenu le même langage-, qu’au sujet du projet de loi objet du référendum il ne faut pas se demander
« si cela est compatible avec l’enseignement de l’Église ou un idéal moral mais si c’est une norme pratique efficace pour les personnes qui vivent aujourd’hui dans notre société ».
Les rangs de ces drôles de prélats zélés activistes gay-friendly et promoteurs d’un cadre juridique en total contradiction avec la morale naturelle et la doctrine de l’Église catholique ne cesse de s’élargir.
Cette dérive homosexualiste du monde ecclésial n’est qu’une des conséquences du relativisme moral de l’Église post-Vatican II. Mais aussi un effet des multiple actes, nominations et paroles du pape François qui concourent à banaliser les relations contre-nature. L’Église conciliaire de l’ère bergoglienne, telle une vielle femme ridée qui veut faire jeune, se peinturlure patement aux couleurs arc-en-ciel, les couleurs de la nouvelle mode bien-pensante Lgbtqietc…
Francesca de Villasmundo
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