Emmanuel Macron devant les parlementaires français réunis en Congrès à Versailles a déclaré vouloir « réformer profondément » le système du droit d’asile pour arriver, explique-t-il à un « traitement humain et juste » des demandes des futurs « réfugiés ».
« Nous ne pouvons pas continuer à affirmer notre attachement aux principes du droit d’asile, en nous abstenant d’entreprendre une réforme en profondeur. »
En parallèle à ses déclarations, différentes sources françaises ont dévoilé aux quotidiens italiens que lors de la réunion d’hier soir à Paris entre les ministres de l’Intérieur de France, d’Italie et d’Allemagne, le gouvernement français a clairement refusé l’hypothèse de débarquements de « migrants » dans les ports français. Si les ministres se sont accordés sur un code de bonne conduite pour les ONG, ce qui pourrait calmer pour un temps l’Italie qui menace de fermer ses ports aux débarquements de clandestins, la Marine italienne n’aura pas le droit en revanche de dérouter les bateaux des ONG vers les autres pays européens. La crise migratoire et les multiples déferlements quotidiens d’immigrés illégaux continueront donc à être supportés par le seule Italie au bord de l’explosion économique, sociale, sécuritaire.
Une façon pour les financiers apatrides et les banksters internationaux qui détiennent entre leurs mains le futur économique des pays européens de soumettre les gouvernements de ces derniers, et pour l’instant ils ont jeté leur dévolu sur l’Italie, à leur bon vouloir et à leur étreinte asphyxiante. Et Macron n’est-il pas un des leurs et un de leur atout majeur ?
Francesca de Villasmundo
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