Dès qu’est abordée sur le présent site de MPI la question des complications médicales liées à l’homosexualité, comme par exemple la diffusion des maladies sexuellement transmissibles ou le Sida, nous arrivent une avalanche de bordées d’insultes ; la plus ordinaire étant de se voir traiter d’homophobe ; même si toujours des références internet à des travaux scientifiques sont données. Ces gens sont dans le domaine de l’idéologie et non plus des réalités.
Or cette fois-ci l’avertissement est donné par le quotidien de gauche Libération qui ne peut être soupçonné « l’homophobie », bien au contraire. Ce quotidien consacre quatre pages au chemsex. Que signifie ce mot ? Il s’agit d’orgies sexuelles entre gays qui peuvent durer plusieurs jours ? La particularité en est que le plaisir sexuel et sa durée sont stimulés par des drogues de synthèses : amphétamines, ectasy, la GHB plus connue sous le nom de « drogue du viol ». Le mot de Chemsex désigne le « sexe chimique », la partouze généralisée et stimulée par des toxiques. Mais selon un site britannique c’est « la descente aux enfers ». Un des acteurs se vante d’avoir été pénétré par « la b… » de 14 hommes différents.
Dans ce cas la justification de tels comportements est toujours la même, sorte de stéréotypie verbale : « les gays sont discriminés ». Ce loisir socio-culturel toucherait le tiers des gays (toujours en Grande-Bretagne).
Le point de départ de la chemsex party se situe au niveau de sites de rencontres spécialisés. L’orgie se situe à des endroits très dissimulés réservés aux habitués. Les chemsexeurs sont le plus souvent des slameurs. Ce mot, nous apprend Libération, désigne ceux qui s’injectent de la drogue en intraveineuse.
Les premières conséquences sont l’addiction à la drogue et la diffusion à grande échelle de maladies vénériennes. Mais les cas de décès se multiplient : merci LGBT ! « Certaines de ces morts sont attribuées à une surdose mortelle, un accident ou un arrêt cardiaque après un mauvais mélange. D’autres à des tentatives de suicide à cause d’un mal-être plus général «même s’il est toujours difficile de faire le lien entre un décès, un contexte et une pratique», écrit dans le quotidien susnommé Anne Batisse, pharmacienne du Centre d’évaluation et d’information sur les pharmacodépendances (CEIP) de Paris.
Le chemsex serait responsable du quart des décès par overdose et ce nombre ne fait qu’augmenter. Dr Michel Ohayon, directeur du 190, centre de santé sexuelle parisien, explique que cette pratique augmente de manière « phénoménale » et qu’il ne se l’explique pas. Il n’est pas très futé. La réponse à sa question est la propagande phénoménale du lobby LGBT –notamment propagée par Libération – allant jusqu’à toucher le pape lui-même qui reçoit avec plaisir des prêtres homosexuels et autres transgenres.
Le journal fait ensuite parler un addictologue le Dr Philippe Batel qui mentionne dans cette affaire un enjeu majeur de santé publique : « sur le court terme, on observe des troubles psychiatriques comme des attaques de panique, des accès maniaques, des replis autistiques ou des bouffées délirantes aiguës qui peuvent conduire à des passages à l’acte auto ou hétéro-agressifs. Mais aussi des insuffisances rénales aiguës, des rhabdomyolyses – destruction du tissu musculaire -, des infarctus du myocarde, des AVC ».
« Sur le long terme, des troubles dépressifs, des syndromes paranoïaques, un isolement social, un amaigrissement, une addiction sexuelle induite. Sans compter des risques plus bénins comme les troubles visuels – fascination des écrans lors des recherches compulsives de partenaires. La forme injectée augmente considérablement le risque de dépendance et les risques de sexualité non protégée – infections VIH, hépatite C et autres infections sexuellement transmissibles (IST). Certains de nos patients se sont contaminés trois fois au virus de l’hépatite C ». Notons que le traitement de l’hépatite C à un coût considérable en raison du coût des médicaments récemment découverts.
Voilà où la théorie du gender promue par le mondialisme, mène rapidement les nations à la disparition. Comment qualifier une idéologie qui mène à la mort d’une partie de ses tenants ?
Jean-Pierre Dickès
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