Le pape noir des Jésuites, le père Arturo Sosa Abascal, ne se plaît pas uniquement à contredire la doctrine catholique régulièrement. Il plaide aussi complaisamment pour une Europe ouverte à tous les migrants, en baratinant les sempiternels refrains immigrophiles que l’on nous vend depuis des décennies.
Dans un entretien à l’agende de presse SIR ( Service Information Religieuse), en bon disciple du marxisme-prolétarien qui a évolué ces dernières années, après la chute de l’URSS, vers une doctrine mondialiste multi-ethnique et multi-culturelle militante acharnée des droits des immigrés et farouche adversaire des nationalismes, le père Sosa s’en prend violemment aux « populismes » :
« Le populisme est un piège. Il suppose la présence des peuples derrières les chefs, mais cela n’existe plus. Ils sont nés ainsi en Amérique Latine, avec d’énormes mouvements de personnes qui ont permis le passage de l’économie agricole à celle industrielle. Les populismes d’aujourd’hui, en revanche, affirme ce marxiste coloré, militant des révolutions prolétariennes mais haineux des traditions nationales, sont représentés par des individus qui n’ont pas de support populaire. Ils sont plutôt anti-politiques et anti-partis. Ils chevauchent les pulsions nationalistes, continue-t-il impérieux, et au lieu de transcender la raison identitaire, ils les exploitent pour ériger des murs.
« Ils ont soif de pouvoir personnel. Et ils sont très dangereux. Le peuple est trompé, il ne compte pour rien. Les chefs s’appuient sur les sentiments de malaise pour cultiver leurs propres intérêts.»
conclut ce jésuite qui se permet de sonder les « reins et les cœurs » des nationalistes en leur prêtant des intentions malveillantes et égoïstes.
Le père Sosa, et là-aussi sa culture marxiste doit y être pour quelque chose, pratique fort bien la novlangue puisqu’en fait, si on saisit bien son message, c’est le mondialisme immigrationniste, le nouveau totalitarisme du XXIe siècle, qui protège les peuples et non les nationalismes ! La vérité, c’est le mensonge avait déjà prophétisé Orwell dans son 1984, livre magistral contre le totalitarisme stalinien…
Ce jugement méprisant et mensonger du pape noir des jésuites sur les nationalismes et les patriotes de tous pays, surnommés dédaigneusement « populismes» et « populistes », est bien dans la ligne du mondialisme humanitariste haineux de toute forme d’identité, qu’elle soit d’ailleurs religieuse ou temporelle, auquel ce marxiste patenté adhère.
En bon socialo-marxiste qu’il est, le père Sosa voit également le futur de l’Europe sous le prisme de l’économie, supérieure à toutes les considérations de survie identitaire, culturelle et civilisationnelle des peuples européens :
« Le futur de l’Europe, déclare-t-il, dépend beaucoup de la main d’œuvre qui arrive d’autres pays. »
Par ses propos il démontre aussi qu’il encourage, ce qui peut paraître contradictoire par rapport à la défense du prolétariat, le modèle de l’ultralibéralisme global qui a besoin d’immigrés corvéables à merci. Comme quoi marxisme et ultralibéralisme sont bien les deux mamelles du même mondialisme !
Et, parce que le père Arturo Sosa Abascal est aussi un idéologue de l’immigrationnisme, il ressasse les mêmes lieux communs pour justifier l’invasion migratoire du Vieux Continent :
« Les migrants sont une source de richesses : ces hommes et ces femmes qui ont le désir de travailler fuient les guerres et les famines. L’Europe a besoin des migrants.»
Avec un tel pape noir à sa tête, la Compagnie de Jésus peut réellement être considérée un puissant réseau d’influence dans le monde de l’immigrophilie de François, le pape blanc.
Francesca de Villasmundo
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