Depuis notre article du 1er janvier, de nombreuses attaques contre le symbole de la Nativité se sont produits tant en France qu’à l’étranger, scrupuleusement relevés par l’Observatoire de la Christianophobie :
- Le 22 décembre, à Béziers, trois santons ont été volés dans la crèche de l’église du Saint-Curé-d’Ars. Le curé a décidé depuis de ne laisser les santons que lors des offices.
- Le 24 décembre, à Lanvéoc, un ange présent dans la crèche depuis plus de 80 ans et qui hochait la tête à chaque offrande, a été volé dans l’église Sainte-Anne.
- Le 24 décembre, au Planquay, l’Enfant Jésus est volé dans la crèche de l’église Saint-Ouen.
- Le 27 décembre, à Nîmes, deux santons de l’église Saint-François de Sales, la Sainte Vierge et l’Enfant Jésus, ont été volés. Mesurant environ 40 centimètres, ils faisaient partie d’une crèche géante installée par les paroissiens et occupant la totalité de l’une des chapelles latérales à droite.
- Le 31 décembre, à Hyères, l’Enfant Jésus est volé dans la crèche de l’église Sainte-Madeleine.
- Le 2 janvier, à Foggia (Italie), un colon « migrant » originaire de Gambie et de confession musulmane a brisé la statue de la Sainte Vierge et incendié la crèche de l’église Madonna del Rosario. Si tous ses compatriotes implantés en Italie sont comme lui, on explique mieux l’attitude récente des Vénitiens.
- Le 6 janvier, à Saint-Etienne, la crèche de la cathédrale Saint-Charles est incendiée. Le maire Gaël Perdriau (LR), a condamné « comme toute profanation de tout lieu de culte et ce quel qu’il soit, cet acte inadmissible. Nous devons nous interroger collectivement sur le sens de ce type de méfait où la bêtise dispute à l’ignorance de ses auteurs», son premier adjoint Gilles Artigues (UDI) ajoutant : « La France, Etat laïc qui doit assurer à tous la liberté de culte, ne peut tolérer de telles attaques lâches ». Les propos déplacés du responsable de district départemental conciliaire Sylvain Batailler, parlant de « gaminerie », lui vaudra d’être qualifié d’« atteint de crétinite aigüe » de la part du chroniqueur de Rivarol, l’ancien député Robert Spieler.
- Le 6 janvier toujours, au Puy-en-Velay, encore un Enfant-Jésus volé, cette fois dans l’église des Carmes.
- Le 23 janvier, à La Grande Motte, la crèche de l’église Saint-Augustin est incendiée.
En ce qui concerne la persécution des officines régimistes contre les crèches, notons que les francs-maçons de la Libre pensée se sont désistés le 4 janvier de leur plainte contre la crèche installée dans la ville de Beaucaire par le sénateur-maire FN Julien Sanchez. Victoire totale donc, suite à la défaite judiciaire des ligueurs du droit du homard thermidor en décembre. Notons que pour ces derniers, le Ramadan n’a aucune connotation religieuse, mais les crèches oui, comme le déclara leur chef, Françoise Dumont, dans Le Midi Libre du 5 janvier. Ces homards-là sont décidément aussi peu ragoûtants que celui de la chanson de Fernandel, voire même que celui de Jeff Koons.
Il y a bien sûr un raccourci facile à faire quant à ces offenses, visant notamment à pointer systématiquement du doigt les sectateurs d’une religion impérialiste de fraîche implantation. Dans certains cas, les soupçons peuvent aussi se tourner vers une autre communauté se revendiquant parfois du christianisme, dont l’appétence aux rapines n’est plus à démontrer, ayant par ailleurs une longue tradition dans le pillage d’églises. Cet acharnement contre les crèches, et particulièrement contre l’Enfant Jésus peut venir d’ailleurs, des mêmes qui taguent les églises, attaquent processions et unions de prières, endoctrinés qu’ils sont par la propagande cathophobe déversée à gros bouillons par leurs médias, leurs journaux et leurs « humoristes ». Il suffit de se rappeler comment en Espagne la vermine rouge profanait particulièrement l’Enfant-Roi (vermine par ailleurs massivement soutenue de nos jours par la secte conciliaire). Et chez ces gens-là, ça bis repetita tant que ça peu. Raison de plus de les envoyer (général) franco de port aller faire le recensement des vers de terre…
Notons d’ailleurs qu’il y a un lien, ne serait-ce qu’implicite, entre ces disparitions d’Enfant-Jésus et le soutien massif de ce courant politique à l’avortement. Cette réflexion m’est venue en mettant en parallèle certains slogans vu ou entendu lors de leurs contre-manifestations haineuses contre les unions de prières devant les centres d’exterminations fœtaux ou contre les Marches pour la Vie. « Gloire à Satan » éructé au Chesnay en mai 1995 par un groupe d’extrémistes dans lequel se trouvait le futur tueur en série Richard Durn (membre, comme par hasard, de la Ligue des Droits de l’Homme). « Si Marie avait avorté, on nous ferait moins chier » brandissaient les féminazies… Les dessins immondes contre l’Enfant-Roi par un barbouilleur de crobards qui a reçu le 7 janvier 2015 son solde tout compte par le Céleste Patron (je ne sais plus si c’est Charb ou Tignous, il me semble même que c’est probablement les deux…) et dont l’âme est actuellement là où elle le mérite (et c’est une vérité éternellement brûlante…) Tout ceci mis en perspective ne peut être que « coïncidences » aux yeux des mal-comprenants, mais cet acharnement à faire disparaître le Divin Enfant est une sorte d’avortement implicite destiné à exterminer mentalement (en attendant de le faire physiquement) le catholicisme.
J’ai cessé de croire depuis longtemps aux coïncidences et quand vous avez quatre pattes et une trompe, vous avez beau analyser la question dans tous les angles possibles, la réponse finale sera toujours « éléphant »… Nés des dérives talmudiques des fils du désert et de leur dieu de mort, les gauchistes ne se complaisent que la haine de la vie. Nous, fils de la forêt et du Dieu d’amour et de Justice, barrons leur là route à chaque occasion, per gesta Dei…
Hristo XIEP
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !