« Tout seul nous ne pouvons y arriver. Les casernes ne suffisent même plus. Nos possibilités d’accueil sont dépassées. Les débarquements ont battu tous les records, même celui de 2014. Les mineurs sans parents sont déjà 20 000. » C’est le cri d’alarme lancé par le ministère de l’Intérieur italien, débordé par une immigration-invasion jamais vue. Ce sont plus de 153 000 immigrés qui sont arrivés en Italie pendant les 9 premiers mois de l’année.
Des bateaux allemands, irlandais, italiens, espagnols, norvégiens, navires marchands ou voiliers, des bateaux battant pavillon du monde entier, accostent continuellement dans les ports italiens bourrés de migrants. Qui débarquent… 4270 clandestins ont posé leur pied sur le sol sicilien et calabrais, hier ! C’est dire l’affluence quotidienne.
La réponse à cet état d’urgence reste malheureusement toujours dictée par la même folie idéologique immigrationniste. « Chaque préfet devra faire plus » est la consigne donnée par le ministre de l’Intérieur italien. Les frontières et les côtes ne seront pas fermées mais les autorités préfectorales sont mises sous pression pour trouver toujours plus de postes d’accueil : les clandestins doivent être dispatchés sur tout le territoire de la botte. Tel est le nouveau plan national d’accueil qui prévoit le relogement des « migrants » dans toutes les communes italiennes.
En somme, même politique suicidaire qu’en France. Et même volonté d’imposer un Grand Remplacement à tous les pays européens sous le regard non seulement indifférent mais complaisant de Bruxelles.
« C’est une honte. Bruxelles a trahi les pactes sur les relocalisations, nos pays voisins ont suspendu l’aire Schengen en fermant les frontières et nous, nous devons nous tenir tous ces immigrés, presque tous africains, qui ne fuient aucune guerre… »
a tonné Paolo Grimoldi, député de la Ligue du Nord.
Francesca de Villasmundo
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