Du côté des Français, des sportifs de la « diversité » sur-représentés, mais pratiquement pas de musulmans parmi eux, que faut-il en penser ? Du côté des Russes, beaucoup de jeunes mamans parmi les sportives féminines et une belle quatrième place en dépit de l’élimination des athlètes.
Photo ci-dessus, autour d’Allison Pineau, au centre, l’équipe de France de handball féminin à l’issue de la demi-finale.
L’ élimination des athlètes russes? peu probante!
Avant que les jeux n’ouvrent nous avons assisté à une mise en scène dont sont coutumiers les Américains et leurs affidés lorsqu’ils veulent manipuler l’opinion. Il s’agissait de punir la Russie de ses velléités d’indépendance, de ses succès sur la scène internationale notamment en Syrie et du référendum sur le rattachement de la Crimée. Or les jeux olympiques ont toujours été le lieu de prédilection des USA pour régler leurs comptes. Ils se sont donc arrangés pour faire éliminer les athlètes russes des compétitions d’athlétisme, grosses pourvoyeuses de médailles. Une manipulation par CIO (Comité International Olympique) et IAAF (Association internationale des fédérations d’athlétisme) interposés, finalement fort peu probante puisque la Russie est arrivée 4ème au classement des nations médaillées d’or avec 19 médailles et 4ème aussi au nombre total de médailles, loin devant l’Allemagne, avec 54 médailles, la France se trouvant en 7è position.
La contre-révolution dans les mœurs sportives russes
Concernant la Russie une autre observation s’impose: l’équipe féminine russe de handball qui a battu en finale l’équipe de France, comptait parmi ses douze sélectionnées 9 jeunes mamans. C’est un signe emblématique de la contre-révolution russe qui s’est opérée en 1991. Les sportives de haut niveau soviétiques qui tombaient enceintes étaient alors contraintes d’avorter, mais aujourd’hui 9 bébés attendaient le retour de leurs mamans victorieuses. Cela relève de la vitalité démographique russe, mais aussi de la chute du régime soviétique et de la contre-révolution qui l’a suivi. Du côté de l’équipe de France de hand il y avaient deux jeunes mamans seulement. Les sportifs russes arboraient tous sur leurs tenues de compétition l’aigle à double-tête couronnées des tsars, frappé en son centre de Saint-Georges terrassant le dragon, qui est le symbole officiel de la Fédération de Russie en place de l’étoile soviétique, ce qui n’est pas une nouveauté de ces jeux olympiques de Rio, mais qu’il est bon de rappeler. C’est comme si la France revenait à la fleur de lys…
Des sportifs Français issus de l’immigration mais très peu de musulmans
Les sportifs issus de la « diversité » étaient pour cette olympiade encore visiblement sur-représentés ainsi que le révèle la liste complète des sélectionnés. Mais avec un gros changement, la grande majorité d’entre eux ne sont plus maghrébins ni musulmans. Ceci est particulièrement notoire dans les équipes de sports collectifs que sont le handball, le volleyball, le basketball et le football, où il ne s’en trouve aucun, sauf erreur de ma part.Â
Il semble d’une part, que les maghrébins qui forment le gros des musulmans en France, s’inscrivent de moins en moins dans les clubs de sport des fédérations nationales, selon les confidences, sous couvert d’anonymat, de spécialistes du sport, et d’autre part, les sélectionneurs semblent avoir fait le choix de ne plus intégrer de musulmans dans les équipes nationales, probablement en raisons des problèmes qu’ils génèrent, comme bouder la Marseillaise ou faire des déclarations qui frisent la haine anti-française, sans compter les délits de droit commun. Parmi les médaillés français de Rio, la moitié environ sont des personnes de « la diversité », pour employer un langage politiquement correct. La boxe fait un peu exception puisque sur six médailles françaises, cinq sont dévolues à des gens « de la diversité » et parmi ces cinq trois ont des prénoms musulmans. Les clubs de boxes sont effectivement largement investis par des jeunes issus de l’immigration, ce qui laisse peu de chance de sélection pour les autochtones. A noter que tous les médaillés ont chanté les paroles de l’hymne nationale…
Conclusion
Que signifie le fait que les jeunes issus de l’immigration musulmane s’inscrivent de moins en moins dans des clubs sportifs affiliés aux fédérations nationales ? S’intègrent-ils désormais dans des circuits parallèles musulmans ? Ou bien boudent-ils par principe le sport ? Ou les deux ? (Sauf l’exception notoire de la boxe). Pour le moment je n’ai pas trouvé de réponse. Mais tout cela révèle un communautarisme de plus en plus puissant au fur et à mesure que cette communauté prend de l’importance, et une attirance de plus en plus grande de la population musulmane de France pour un islam dur, envahissant et antagoniste, ce qui rejoint l’apparition des burkinis sur les plages, les burqas dans les rues, et autres nombreuses manifestations de ce type dans les cantines, les piscines, les écoles, les hôpitaux etc. Â
emiliedefresne@medias-presse.info
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