Ce n’est pas le premier cas du genre. L’ethno-masochisme de certaines femmes européennes est sans limite. Selin Gören en est une illustration.
Cette jeune femme de 24 ans est la porte-parole du mouvement Solid, une organisation gauchiste allemande favorable à toujours plus d’immigration.
En janvier 2016, cette jeune femme a été violée par trois immigrés sur une plaine de jeu dans la ville de Mannheim. Après son viol, elle s’est rendue à la police mais n’a d’abord déclaré que le vol de quelques affaires personnelles. Ensuite, elle a parlé de son viol mais en déclarant que ses agresseurs étaient… des Allemands. Cet été, elle a expliqué sa mésaventure à la télévision allemande en précisant qu’elle n’avait pas voulu déclarer son viol par des immigrés pour ne pas attiser le racisme. Sur sa page Facebook, elle a même publié un message présentant ses excuses aux « réfugiés » pour le mauvais accueil qui leur est réservé !
Dans sa « confession cathodique », Selin Gören déclare que ses violeurs parlaient en arabe ou en farsi. Mais elle ajoute que les migrants ont souffert après les événements de Cologne le soir du Nouvel An – lorsque des centaines de femmes ont été agressées sexuellement et volées par des meutes de jeunes immigrés. Selin Gören ne pense pas un seul instant à toutes ces femmes qui, comme elle, ont été abusées sexuellement. Elle ne pense qu’aux « malheureux immigrés » stigmatisés par cette affaire. Et elle ne veut pas que son propre viol relance ce sujet et entraîne des représailles contre les immigrés. Un récit qui, à ce stade, relève de la pathologie.
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