Dans l’Afrique traditionnelle, la stérilisation forcée des femmes n’avait pas sa place d’autant plus que donner la vie est un don divin. Et par conséquent personne ne pouvait entraver ce don, malheureusement le modernisme et le contexte actuel amènent des pratiques taboues et inadmissibles.
Cette information date de l’année 2015, mais cette pratique demeure. En effet, radio France internationale révèle que plusieurs organisations de défense des droits des femmes avaient déposé une plainte auprès de la Commission pour l’égalité des Sexes, demandant l’ouverture d’une enquête. La plainte s’expliquait par le fait que de nombreuse femmes étaient stérilisées contre leur gré parce qu’atteinte du Sida.
Selon Jodie Fredericks, du Centre pour les droits des Femmes, la plus part de celles-ci ne savaient même pas ce qui leur arrivait.
« Elles sont allées à l’hôpital alors qu’elles commençaient à avoir des contractions. Et là, on ne leur a pas demandé, on leur a dit qu’elles devaient être stérilisées car elles étaient atteintes du hiv sida. Et on leur a donné des documents à signer. De nombreuses femmes nous ont dit qu’elles ne savaient même pas ce qu’elles signaient… car elles étaient sur le point d’accoucher. »« Ce qu’elles nous rapportent, poursuit Jodie Fredericks, c’est que les infirmières leur ont dit qu’elles ne doivent pas avoir d’autres enfants, parce qu’elles sont séropositives, car cela met leur vie en danger et qui va s’occuper des enfants une fois qu’elles sont décédées. Ils semblent que c’est le personnel de santé qui de sa propre initiative stérilise ces femmes. Mais de toute façon, quand une femme est sur le point d’accoucher, ce n’est pas le moment de lui parler de stérilisation. Notre législation est claire : aucune femme ne peut être stérilisée sans son aval, le médecin doit lui expliquer ce que cela veut dire. Et elle doit remplir et signer un document indiquant qu’elle accepte. Mais elle doit comprendre ce qu’elle est en train de signer. Mais en pratique ce qu’il se passe c’est que le personnel de santé force la main à ces femmes pour qu’elles signent ses documents sans leur expliquer de quoi il s’agit. »
Aujourd’hui, en Ouganda, plusieurs femmes sont victimes de la stérilisation forcée et souvent sans même leur consentement. Nombreuses témoignent à RFI avoir détruit leurs ménages parce que ne pouvant plus mettre au monde.
L’occident apostat déverse la mort sur l’Afrique. A quand le respect de la Vie, le don de soi dans la transmission de la vie, et la protection de la nature telle que Dieu l’a créée ?
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Le don de soi et la protection de la vie !
Vous déconnez les mecs !
Ces femmes font trop d’enfants déjà et ne sont même pas capables de s’en occuper !
Ensuite ils vont envahir l’Europe !
Si vous voulez protéger la vie , il faut stériliser toutes ces bonnes femmes qui ne peuvent pas donner une vie déscentes a ces enfants qui seront malheureux quand ils grandissent .
Raz le bol du Droits Des Femmes !
Il faut d’abord penser a ces bébés !
Qui soufrent souvent et dont les parents se débarrassent parfois ou vendent ,
ou bien se retrouvent orpholins! Les pauvres !!!!!
Bonne idée la stérilisation
Ils ont enfin une bonne iniciative ces africains !
Il était temps !!!!!!
quel dommage que la vilenie ne soit pas génétiquement transmissible, sans quoi on aurait eu un bon prétexte pour commencer par vous.
Cela s’appelle être un promoteur de la mort , Claire .
La société de ces femmes du » Tiers-monde » doit oeuvrer pour trouver des solution à ces problèmes de Santé Publique et/ou pallier aux difficultés socio-économiques .
C’est une atteinte majeure au droit à la vie que d’utiliser un recours aussi grave qu’une stérilisation .
C’est un crime contre Dieu et contre la femme .
Pas les stériliser ,mais leurs demander de prendre la pilule,car quand je vois ses enfants si maigre ,qu ‘ils non pas se qu ‘il faut pour manger,les soignés ,sa fait mal au cœur,ils sont malheureux ,donc j ‘estime qu’ a 3 ou 4 enfants ,il faut leurs demander de prendre la pilule ,pour le bonheur des enfants ,qu ‘ils ne meurent pas comme cela arrive fréquemment de mal nutrition ,ou de manque de soins
il serait plus judicieux d’euthanasier les homosexuels…
A en juger par à quel point vous êtes obsédé par le sujet, pourquoi ne pas commencer par vous ?
le jour venu c’est par des nuisibles dans ton genre que l’on va commencer…
je n’en doute pas une seconde, malheureux. quand le moment sera venu, prévenez-moi : je prendrai une brève minute pour prier pour le salut de votre âme… ce qui je le crains ne servira pas à grand-chose à ce stade-là, mais au moins vous ne pourrez pas me reprocher en plus de n’avoir pas essayé…
L’homophobe préfère son propre sexe. Comme il refoule cette pulsion, il se venge en haïssant tout ce qui n’est pas comme lui : les Noirs les femmes et surtout les gays… qui lui renvoient l’image de sa pulsion coupable.
Petite étude intéressante d’Henry Adams
« Is homophobia associated with homosexual arousal »
http://psycnet.apa.org/psycinfo/1996-00463-014.
Si l’anglais vous rebute (mais bon cultivé comme vous l’êtes çà ne devrait pas poser de problèmes) je vous recommande ne français cette fois « dans la peur de l’autre du sexisme à l’homophobie » de Daniel Welzer-Lang.
tu fais dans le facile ma puce, de la psychanalyse de comptoir.. il faudrait aussi éliminer les psy… Daniel Welzer-Lang le youtre de service…
C’est vrai j’avais oublié que vous devez être un descendant d’Arnaud Amaury.
« Tuez les tous Dieu reconnaîtra les siens »
Et je suppose que votre livre de chevet doit être les Carnets de Turner.
il est vrai que si l’on éliminait aussi les protestants et les francs-maçons…
Je m’en doutais…
N’oubliez pas non plus les bouddhistes les hindouistes les shintoïstes.. plus ceux que j’oublie. Ainsi que les athées et les agnostiques..et les catholiques conciliaires.
« Il ne peut en rester qu’un » vous.
ne craignez rien pour lui ; à supposer qu’il persiste dans son égarement à l’heure de son jugement, on trouve moulte compagnie en enfer.
Le sujet est intéressant à analyser dans la mesure où il pose simultanément plusieurs questions sur des sujets de santé publique, d’éthique, de liberté, et de devenir de la société, voire de l’espèce humaine.
Il est bien évident que les droits individuels de ces femmes à disposer d’elles mêmes ne sont là plus respectés, ce qui pose bien un problème de liberté individuelle et de respect du droit des individus à disposer d’eux même.
À l’inverse, de telles dispositions deviennent des mesures de prévention sanitaires qui permettraient à terme, de limiter la propagation d’une épidémie, mais aussi d’éviter la naissance d’enfants contaminés dont ni les mères, ni la société en général n’ont la capacité à apporter ensuite les soins nécessaires.
Se pose donc aussi à l’inverse les limites de la notion de liberté: en quoi le droit des mères à disposer d’elles mêmes leur octroirait-il le droit de donner naissance à des enfants contaminés, ne s’agit t-il pas là d’une attitude criminelle, et donc répréhensible ?
Il s’agit donc bien de choix vitaux, à petite et à grande échelle, tant pour ces femmes que pour leurs enfants, leur entourage, leur société, leurs pays, mais aussi la communauté internationale. Les pays dits « riches », ou « occidentaux », auraient-ils ainsi vocation à apporter bénévolement à ces populations des soins sanitaires systèmatiquement voués à l’échec ?
Auraient-ils vocation à accueillir et à soigner des femmes et des enfants nécessitant des soins très lourds et excessivement coûteux, au risque d’anihiler totalement les capacités de leurs système de santé, et donc à terme, les conditions du maintien de leur propre santé et de celle de leurs enfants ?
Nous sommes bien là face à un « tonneau des danaïdes » sanitaire, et force est bien malheureusement de constater qu’après plusieurs décennies d’aide médicale, rien n’est aujourd’hui résolu.
Il s’agit là d’un sujet d’éthique et de santé publique qui relèverait de l’intérêt et donc de choix de la communauté internationale.
Force est malheureusement de constater que sur le sujet, c’est bien la politique de l’autruche qui s’applique.
Pourtant, si nous extrapolons à ce sujet la « métaphore des nénuphars « , c’est bien le devenir de l’espèce humaine qui apparaît en jeu.
Et autant le choix démographique fait par la Chine populaire pourrait paraître autoritaire, autant le laisser faire sur ce sujet ne pourra être à terme que suicidaire pour l’ensemble de l’espèce humaine.
Pour illustrer mon propos ci-dessus, j’évoquerai la situation d’un « collègue », qui voilà donc maintenant 20 ans, à adopté avec son épouse un bébé originaire d’Afrique centrale.
Las, malheureusement, comme cela est trop souvent le cas, ce bébé s’est révélé être porteur d’une maladie très grave, nécessitant donc depuis un traitement très coûteux.
Ainsi, à vouloir recueillir les bébés nés de gamines prostituées dans des pays n’ayant ni foi ni loi, nous voilà à ruiner notre système de sécurité sociale.
Ce bébé, qui est désormais un jeune homme, contaminera t-il à son tour nos jeunes filles ?
Je m’arrêterai là: inutile de continuer à cotiser pour ma retraite, c’est sûr, elle est bien assurée !!!
ce que vous dites peut sembler cynique, mais ce n’est que tristement juste. cependant on sait que l’instruction, en particulier des filles, permet de soulager grandement ce problème et bien d’autres. je crois donc qu’il faut miser sur le développement durable, les écoles, le microcrédit et tout cela… dans l’intervalle, hélas, seule une mobilisation globale peut effectivement supporter la situation actuelle… mais peut-être allons-nous finir par y venir, vu que les flux migratoires deviennent incontrolables !
C’est un sujet crucial sans solutions. Notre foi nous défend strictement de pratiquer les crimes abominables que sont l’avortement et l’euthanasie ainsi que celui moins grave, mais grave quand-même de la contraception.
J’y vois d’emblée et directement un châtiment du ciel pour l’apostasie des peuples européens et des péchés de tous ces pauvres peuples africains.
La colonisation qui aurait dû et aurait pu s’avérer infiniment plus bénéfique par l’évangélisation, si la devise « pas de clochers plus haut que les minarets » n’avait pas prévalu après la conquête de l’Algérie a eu finalement l’effet contraire; elle s’est trouvée interceptée immédiatement pas les gouvernements maçoniques de Louis Philippe, Napoléon III et l’infâme 3ème république. Tout cela devant un impérialisme britanique judéo-maçonico-prostestant fondé exclusivement sur le profit capitaliste au mépris même du bien-commun de ces peuples et ethnies.
Au lieu de tirer l’Afrique de sa misère spirituelle faite de sacrifices humains, d’anthropophagie et d’esclavage et de sa misère matérielle, on lui a inoculée les mauvais moyens modernes prétendus sanitaires mais mortifères, qui se sont substitués aux précédents.
Ainsi,l’évangélisation aurait eu l’effet bénéfique d’une démographie équilibrée car, comme il est dit dans le cathéchisme du Père Barbara,il ne faut avoir que les enfants que Dieu veut que l’on ait.Et cela,c’est la raison qui le dicte par les circonstances.