Après la visite à la grande synagogue de Rome dimanche dernier, 17 janvier 2016, c’est à une visite de François à la grande mosquée de Rome que travaillent les services du Vatican en collaboration avec les instances musulmanes vivant dans la capitale de la chrétienté. Ce sera la première fois dans l’histoire qu’un pape mettra les pieds, déchaussés n’en doutons pas, à la mosquée romaine.
Cette rencontre est organisée depuis une dizaine de mois. Afin de formaliser l’invitation, François recevra au Vatican, juste avant l’audience générale, une délégation de la grande mosquée mercredi prochain. Des deux côtés on souhaite que cette visite ait lieu au cours du jubilé de la miséricorde dont le thème, et le pape l’avait bien précisé dans sa bulle d’indiction, est commun aux trois religions monothéistes. (sic) Raison de plus pour ne pas participer à ce jubilé de cette fausse miséricorde catho-islamo-juive !
Cette visite inédite d’un pape à la mosquée de Rome peut être considérée également comme un message politique de l’évêque de Rome au monde : elle intervient à l’heure de la crise des migrants dont la majorité professe la religion musulmane. C’est une preuve de plus de la volonté de François d’ouvrir en grand les portes de l’Europe et de soutenir l’idéologie du « vivre-ensemble ».
C’est aussi est un énième facteur aggravant le relativisme et l’indifférentisme religieux de notre époque, promouvant la mise en place d’une religion mondiale où toute une humanité sans racines, sans attache, sans « genre » ni sexe, dans un monde globalisé sans frontières ni repères, communiera dans un élan mystico-dingo à la fraternité, à l’égalité et à la liberté, sur l’autel de « la maison commune », dans une espérance terrestre d’un futur meilleur…
Francesca de Villasmundo
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