Der Bild révèle des propos terribles mais prévisibles d’un officier supérieur de la police de Francfort : « Pour les infractions commises par des suspects qui ont une nationalité étrangère et sont placés dans un centre d’accueil, nous classons immédiatement l’affaire. »
L’officier ajoute : « Il y a des instructions strictes de ne pas signaler les infractions commises par les réfugiés. «
Par ailleurs, Michael Shaikh, porte-parole du ministère de l’Intérieur de Hesse, a admis que des recommandations avaient été faites aux directions des médias afin de ne pas trop parler de ces agressions sexuelles commises par des immigrés pour ne pas « attiser » les tensions et ne pas permettre que ces faits « soient exploités par l’extrême droite », une ritournelle bien connue dans toute l’Europe de l’Ouest.
Toujours selon Der Bild, des instructions similaires ont été données en Rhénanie-du-Nord-Westphalie : les incidents commis par des « réfugiés » ne doivent pas être déclarés. Seules les attaques menées par des « néo-nazis » contre des demandeurs d’asile doivent être enregistrées.
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