En trois documentaires, la télévision russe a décortiqué à l’aide d’images d’actualité et de reconstitutions, le dessous des cartes du retour de la Crimée à sa mère-patrie. Film dont la projection a été interdite par les mairies de Nice, Strasbourg, Cannes et Bordeaux. Ce dont elles ont été félicitées par l’Ambassade d’Ukraine, pour le plus grand bonheur des mondialistes, mais certainement pas pour celui des tenants de la liberté d’expression. Il s’agit d’une entrave à la manifestation de la vérité par un débat public. Ce documentaire en trois parties pourrait un peu contrebalancer la version officielle diffusée en France sans la moindre contradiction, du rattachement de la Crimée à la Russie qui a été le prétexte à la déclaration de guerre du régime de Kiev -soutenu par les USA et par l’Union européenne-, à la population de la Novorossiya (Donbass). Une version officielle et obligatoire diffusée en France par toutes les chaines de télévision et les gros médias en général, sans la moindre contradiction. Le choix des Criméens de rejoindre à une majorité plébiscitaire la Russie a aussi été le prétexte aux sanctions économiques qui ont frappé la Russie et par contre-coup l’Union européenne.
Un grand documentaire en trois parties de la chaîne Rossiya 1 sur les évènements qui ont eu lieu au printemps 2014 en Crimée, commentée par le président de la fédération de Russie:
Plein de détails passionnants dans ce documentaire. Notamment la mise en évidence de l’infériorité de l’OTAN en matière d’antimissile antinavire…
Poutine rapporte comment la Russie a bloqué l’escorteur d’escadre américain, Donald Cook, qui s’approchait dangereusement de la Crimée au moment où la Crimée venait de manifester son rattachement à la Russie. L’OTAN effectuait des manœuvres, comme par hasard, en mer Noire à partir de la Roumanie, croyant pouvoir intervenir en Crimée. Mais un missile antinavire Bastion avait déjà été positionné en Crimée par Moscou sans que l’OTAN s’en soit rendu compte, semble-t-il. A moins que comme à leur habitude les Américains aient sous-évalué la détermination de Moscou et la performance de ses armes défensives. Les anti-missiles Bastion sont les meilleurs antimissiles existant au monde selon Poutine, en ce qui concerne la paralysie des navires. L’antinavire a donc paralysé toutes les fonctions de l’escorteur de l’OTAN qui n’a pas réussi à prêter main forte à Kiev pour reprendre possession de la Crimée. C’est au milieu du second documentaire.
Le ralliement de la plus grande partie des troupes de la marine ukrainienne à la Russie n’est pas piquée des vers non plus… Ils n’avaient pas envie de passer sous commandement américain. C’est dans le premier documentaire.
Le bataillon ukrainien de l’OTAN sous commandement direct de l’ambassade des USA qui est ensuite allé commettre des exactions au Donbass à Golovka, etc.
Plein de détails passionnants dans ce documentaire. Notamment la mise en évidence de l’infériorité de l’OTAN en matière d’antimissile antinavire…
Poutine rapporte comment la Russie a bloqué l’escorteur d’escadre américain, Donald Cook, qui s’approchait dangereusement de la Crimée au moment où la Crimée venait de manifester son rattachement à la Russie. L’OTAN effectuait des manœuvres, comme par hasard, en mer Noire à partir de la Roumanie, croyant pouvoir intervenir en Crimée. Mais un missile antinavire Bastion avait déjà été positionné en Crimée par Moscou sans que l’OTAN s’en soit rendu compte, semble-t-il. A moins que comme à leur habitude les Américains aient sous-évalué la détermination de Moscou et la performance de ses armes défensives. Les anti-missiles Bastion sont les meilleurs antimissiles existant au monde selon Poutine, en ce qui concerne la paralysie des navires. L’antinavire a donc paralysé toutes les fonctions de l’escorteur de l’OTAN qui n’a pas réussi à prêter main forte à Kiev pour reprendre possession de la Crimée. C’est au milieu du second documentaire.
Le ralliement de la plus grande partie des troupes de la marine ukrainienne à la Russie n’est pas piquée des vers non plus… Ils n’avaient pas envie de passer sous commandement américain. C’est dans le premier documentaire.
Le bataillon ukrainien de l’OTAN sous commandement direct de l’ambassade des USA qui est ensuite allé commettre des exactions au Donbass à Golovka, etc.