Bernard Cazeneuve a bien l’intention de répartir des immigrés clandestins dans les 36 000 communes de France, afin notamment de faire baisser la pression à Calais. Mais cet accueil imposé n’est pas du goût de tous.
A Arry, petit village de 540 habitants au sud de Metz (Moselle), la préfecture en lien avec une association avait imposé d’accueillir une cinquantaine d’immigrés en provenance de Calais. une réunion municipale houleuse a eu lieu à ce sujet.
A Pexonne (Meurthe-et-Moselle), village de 480 habitants, la population et la municipalité se mobilisent contre l’arrivée d’une cinquantaine d’immigrés imposés par la sous-préfecture de Lunéville. Le maire de ce village a fait savoir son opposition au préfet de Meurthe-et-Moselle, affirmant que sa commune souffre économiquement et socialement et menaçant de présenter la démission de son conseil municipal et de ses élus.
Le maire du bourg d’Etival (Vosges) est lui aussi très en colère contre la décision du préfet du département de lui envoyer une cinquantaine de migrants mardi prochain afin de les héberger dans un centre de vacances. Lors d’une réunion publique, le maire d’Etival a souligné qu’il s’agit de «migrants économiques» et «uniquement des hommes jeunes et célibataires». Le conseil municipal a rejeté par une motion la décision du préfet de faire venir des migrants dans le village. Mais le préfet n’en a cure.
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je verrai bien une taxe au pays final : le pays accueillant les migrants en dernier ressort serait tenu de payer une taxe aux pays frontaliers en vue d’améliorer les moyens de filtrage et de rétention. Ça calmerait peut-être les Allemands et accessoirement les Français.
Encore une taxe que nous devrons payer! Il faut tous les buter, c’est la seule chose efficace à 100%..et ça tombe bien je cherche du boulot.
c’est vrai mais de toutes les façons on paye déjà pour ça, mais pour les installer là ça serait un peu pour les désinstaller. « Tous les buter »..
« Selon l’exemple probant de l’Australie. »
L’Australie est en effet expérimentée en la matière ; c’est elle qui a contribué le mot « boat people » à la langue, les premiers boat people ayant été des Vietnamiens qui débarquaient au Nord de l’Australie où il y a peu d’habitants (la moitié de la population d’Australie vit dans les deux grandes villes de Sydney et Melbourne prises ensemble). Au début on était charitable, mais en vue des ghettos qui ont été établis dans les grandes villes on s’est décidé à prendre les mesures musclées déjà descrites ici. J’ai vu un de ces ghettos il y a sept ans dans la banlieue de Melbourne : c’était comme Vénissieux(-lès-Lyon). Alors, on a dit sans complexes : ce n’est pas australien, ça, on n’en veut pas.
Le flux migratoire a été initiée par les hauts dirigeants, « l’élite » du monde. En réponse, nous allons créer des flux financiers de compensation qui serviront en finale les mêmes « ELITES ». Voir l’interview de Ronald Bernard : « si seulement les gens savaient comment fonctionne réellement le monde. Les services secrets, rien de les arrêtent. Rien. Ils ont aussi leurs flux d’argent. Ces flux sont issus du commerce de la drogue, du commerce des armes et celui des gens aussi ».
Le meilleur moyen pour qu’ils ne viennent plus chez nous, c’est que l’on retourne chez eux. Nous ferons cesser les guerres tribales, nous écarterons le fléau de la famine, nous soignerons les malades et nous éduquerons les populations…comme au temps béni des colonies !