Il y a quelques jours, MPI évoquait la recrudescence des cas de viols et d’agressions sexuelles commis par des immigrés clandestins, notamment à Sangatte et Calais.
Un lecteur nous signale à ce sujet un cas suédois particulièrement tragique.
En novembre 2014, un immigré somalien a brutalement violé une fillette de 12 ans à Sundsvall. Fin juin 2015, il a été reconnu coupable de viol d’enfant mais s’en est tiré avec une peine ridicule de 180 heures de travaux d’intérêt général !
La fillette avait pourtant été frappée, humiliée et brutalement violée. Durant le viol, il a prononcé des mots qui frisent le racisme anti-blanc.
D’après les rapports de la Cour, la victime « saignait abondamment de ses organes génitaux. » Elle souffre de séquelles « physiques et psychologiques ». Lorsqu’elle a raconté à ses parents ce qu’elle venait de subir, ils se sont tournés vers les services sociaux de la ville, mais les représentants de la Ville n’ont pas déposé de rapport auprès de la police.
Lorsqu’on lui a demandé si les services sociaux se sont abstenus de déposer un rapport de police en raison de l’origine ethnique de l’auteur – un musulman noir – la directrice des services sociaux a affirmé que fut pas le cas. « Non, non, non, absolument pas. », affirme-t-elle.
Mais au-delà des lenteurs de l’enquête, il y a surtout ce jugement inqualifiable. En Suède, le viol d’enfants est passible d’une peine minimale de deux ans de prison. Alors, comment expliquer, au regard de la gravité des faits, cette ridicule condamnation à 180 heures de service communautaire ? Le tribunal a retenu quelques circonstances atténuantes en faveur du violeur pédophile qui aurait « quelques problèmes avec l’anxiété ainsi que des problèmes de sommeil ».
Et la victime, pendant combien de temps conservera-t-elle des problèmes d’anxiété et de sommeil ?
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !