La lettre de Jorge Bergoglio aux Évêques des États-Unis : un aveu de taille sur l’efficacité des mesures adoptées par l’Administration Trump, par Mgr Viganò

Lire l’article de Francesca de Villasmundo :

François a adressé aux évêques américains une missive
des plus discourtoise envers le président des Etats-Unis

La lettre de Jorge Bergoglio aux Évêques des États-Unis est l’aveu le plus évident de l’efficacité des mesures adoptées par l’Administration Trump pour contrer l’opération de substitution ethnique souhaitée par l’élite mondialiste à travers la déportation de masse en provenance du Tiers Monde.

Bergoglio ne peut pas permettre que soit interrompu le flux exorbitant d’argent public versé à l’USCCB et aux fondations et ONG « catholiques » – à commencer par le JRS des Jésuites américains – utilisé, non pas pour promouvoir des œuvres d’authentique charité chrétienne, mais pour soutenir un projet de dissolution sociale. C’est pourquoi il cherche à donner une base doctrinale à l’« accueil » indiscriminé des immigrés illégaux, allant jusqu’à citer de manière tout à fait inappropriée le Magistère du Pape Pie XII.

Les propos du Jésuite Argentin manifestent leur hypocrisie.

S’ils étaient authentiques et désintéressés, nous aurions dû les entendre bien plus tôt, lorsque l’Administration Biden a supprimé les salaires des citoyens américains qui ne se sont pas soumis à l’inoculation du soi-disant vaccin. Dans ce cas, le souci de « l’infinie dignité de tous » a cédé le pas aux diktats de la même élite subversive qui a planifié la substitution ethnique ; la même élite qui utilise l’argent des contribuables pour financer le Vatican, la Conférence Épiscopale Américaine, les Jésuites ultra-progressistes qui soutiennent la Gauche woke et toute la constellation d’organisations et d’ONG.

Où étaient Bergoglio et l’Épiscopat américain quand Biden a soutenu l’avortement jusqu’à la naissance ?

Pourquoi n’ont-ils pas défendu la « dignité infinie » des créatures innocentes et sans défense qui sont avortées ? Pourquoi sont-ils restés silencieux sur le trafic criminel de mineurs violés, contraints à la prostitution, donnés en pâture à l’élite pédophile et vendus au marché de la prédation d’organes ? Peut-être parce que l’engagement de ne pas parler d’avortement et de morale sexuelle fait partie des points programmatiques des courriels du conseiller d’Hillary Clinton, John Podesta, au même titre que la promotion des perversions LGBTQ+, de la folie écologique et de la substitution ethnique ?

Dans la parabole du Bon Samaritain, l’homme tombé dans les mains des brigands et laissé pour mort pourrait aujourd’hui être un Américain volé par un immigré clandestin, ou un vétéran battu par une bande d’adolescents.

Bergoglio ne s’arrête pas pour l’aider, car il est trop occupé à obéir à ses maîtres.

Celui qui s’arrête pour le soigner, qui l’emmène à l’auberge à ses frais (et non avec l’argent du contribuable), n’est pas une ONG des Jésuites ni une charity progressiste financée par l’USAID, mais ce Samaritain que les nouveaux docteurs de la Loi considèrent comme un hérétique, et qui porte aujourd’hui un chapeau rouge avec l’inscription MAGA.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque,

11 février 2025

Source : https://x.com/CarloMVigano

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

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