Enfin une bonne nouvelle pour tout le monde.
L’association qui se prétend humanitaire Médecins Sans Frontières annonce mettre provisoirement fin à ses activités en Méditerranée centrale. Bien sûr, l’association mondialiste chouine abondamment au motif que cette mesure dictée par les sanctions italiennes en violation du droit international humanitaire l’empêche d’accomplir son devoir qui consiste à secourir les migrants naufragés en mer. Comprendre sa mission d’épuration ethnique de l’Europe occidentale…
Le ministre de l’intérieur italien, Matteo Piantedosi, a pris des mesures visant à encadrer et, dans la mesure du possible, freiner le flux de criminels débarquant sur le sol italien puis se répandent dans toute l’Europe.
Dans le communiqué de MSF, Margot Bernard, encore une traînée carriériste de l’humanitaire grassement payée par les dons défiscalisés des gauchistes et surtout par les subventions dispendieusement distribuées du geste large de ceux qui disposent de l’argent des autres, nous fait pleurer sur les bambins qui ont fait leurs premiers pas sur le pont du Geobarents venu au secours de tant d’âmes en perdition…
MSF pleure parce que les Italiens ont contraint le navire à débarquer les clandos en Italie du nord, obligeant ainsi le bâtiment à des cabotages superflus. Ainsi, en juin dernier, le navire a dû faire route vers le port de La Spezia (en Ligurie), soit un surcroît de navigation de 1000 kilomètres pour débarquer 13 clando venus vous enrichir. C’est vrai que ça fait cher du clando, mais quand on aime, on ne compte pas. Or, MSF compte et a jugé que le jeu n’en valait pas la chandelle.
Ne nous le cachons pas c’est une bonne nouvelle.
Une bonne nouvelle d’abord pour les Européens qui n’ont d’autre patrie que la leur pour subsister. Une bonne nouvelle surtout pour les candidats au voyage qui, sachant qu’on ne viendra pas les chercher pourraient, (on peut rêver), y réfléchir à deux fois avant de prendre la mer dans des conditions précaires. Parce que les 31 000 morts sur lesquels nous font pleurer les médecins sans frontières et leurs relais de la presse aux ordres seraient toujours vivants s’ils ne s’étaient pas soumis aux réseaux de trafiquants d’êtres humains dont les ONG sont un maillon essentiel.
Hélas lecteur, il me faut tempérer un peu cet enthousiasme.
La décision de MSF n’est que de la poudre aux yeux car elle intervient à une période où les traversées sont rares. Mais soyez-en sûrs, MSF ne restera pas les bras croisés et ne manquera pas d’activer ses réseaux (notamment les réseaux Soros), pour obtenir, d’ici le printemps prochain, les décisions de justice nécessaires pour débarquer sur les côtes européennes de nouvelles « chances pour l’Europe ».
Jacques Frantz
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