« Le Cardinal Müller a raison de dénoncer Bergoglio comme un émissaire de l’élite mondialiste et un promoteur de l’idéologie néo-gnostique woke. »
Voir ici le message de Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque
Mais il devrait porter aux logiques conséquence l’évidente étrangeté à la Papauté d’un hérétique obstiné, engagé dans la destruction systématique de l’Église.
Le Synode n’est pas une entité en soi : c’est un récipient pseudo-juridique qui permet à l’église bergoglienne de porter à ses extrêmes conséquences soixante ans de révolution permanente qui déchire le corps ecclésial depuis Vatican II.
Les complices de Bergoglio tiennent à souligner que le Synode est « la continuation du Concile », précisément en raison de sa valeur subversive.
Le cancer conciliaire a maintenant dégénéré en métastase : il faut prendre acte de l’usurpation du Jésuite Argentin et de toutes les étapes qui ont inexorablement conduit à la terrible crise actuelle.
Des étapes que Mgr Müller n’a jamais condamnées, car cela implique la remise en question du Concile et du vénéré Mentor, Joseph Ratzinger, qui fut le protagoniste de cette assise et qui, par sa Renonciation, a contribué à la désacralisation et à la reformulation de la Papauté sous une clé œcuménique, collégiale et synodale.
Que l’Esprit Saint Paraclet déchire les ténèbres, dissipe la confusion mentale, accorde la vraie liberté de vouloir et d’agir uniquement pour le bien des âmes, l’honneur de l’Église Catholique et la gloire de Dieu.
Laurent Fabien
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