A l’initiative de lobbies occidentaux, une nouvelle coalition de diverses organisations pro-avortement, appelée Catalysts, a été lancée dans le but de promouvoir l’avortement en Afrique. Entre autres initiatives, ils distribuent des kits d’avortements et des contraceptifs aux mineurs.
Cette coalition pro-avortement est composée du Center for Reproductive Rights (CRR), du Bureau régional Afrique de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPFAR), de l’Ipas Africa Alliance (AA), du Population Council-Kenya et de la Fédération internationale. de gynécologie et d’obstétrique (FIGO).
Ipas a créé un kit d’avortement vendu dans le monde entier, notamment en Afrique et dans les pays en développement.
Lors du lancement de Catalysts, il a été déclaré dans un communiqué de presse que l’affaire Roe avait suscité des craintes « quant à d’éventuels reculs des droits reproductifs à l’échelle internationale » et que les organisations « se sont réunies pour préserver des acquis durement acquis et élargir l’accès aux services d’avortement en Afrique. .
Angela Akol, qui dirige l’Alliance africaine Ipas, explique comment tout a commencé :
«Catalysts est né de la compréhension que toutes les organisations travaillant pour faire progresser la justice reproductive doivent collaborer et parler d’une seule voix sur la situation actuelle du droit à l’avortement en Afrique. En tant qu’espace de rassemblement et de connexions, Catalysts nous offre une plateforme à partir de laquelle nous pouvons adopter les mêmes stratégies et présenter un front uni dans notre lutte contre le mouvement croissant anti-droits qui menace de limiter et d’anéantir les droits reproductifs.
Lobby occidental pro-avortement
De nombreuses personnes et organisations ont tenté d’imposer un programme pro-avortement à la population africaine. Le prince William et Melinda Gates ont déploré que les parents africains aient trop d’enfants.
D’autres organisations ont dépensé de l’argent pour promouvoir l’avortement plutôt que les soins de santé. Pendant la « pandémie » de Covid-19, l’aide médicale offerte par l’Occident à l’Afrique était essentiellement consacrée à l’avortement. l’Agence suédoise de coopération internationale au développement a envoyé des kits d’avortement d’une valeur de deux millions de dollars. D’autres pays, comme le Canada, ont utilisé des millions de dollars de financement Covid-19 pour promouvoir l’avortement en Afrique. Sans compter d’autres organisations pro-avortement qui ont exploité les femmes africaines pour la recherche sur l’avortement, testant les avortements médicamenteux entre 15 et 28 semaines de gestation. L’organisation Marie Stopes International (maintenant MSI Reproductive Choices) a distribué des contraceptifs à des filles mineures en Afrique à l’insu de leurs parents.
Nsango Ya Bisu
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
