Depuis hier soir, c’est une avalanche de commentaires abasourdis et scandalisés qui suivent la « cérémonie » d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris organisée à grands frais devant un grand nombre de chefs d’Etat de tous les continents et diffusée en mondiovision par les caméras de télévision. Appelons un chat un chat : ce ne fut pas un spectacle de « mauvais goût », ni wokiste ou dégénéré mais une cérémonie sataniste savamment orchestrée.
Résumons ce qui a été exposé vendredi soir aux yeux de la planète entière.
La République sanguinaire et anti-chrétienne se célèbre
D’abord, la célébration de la République qui décapite la France millénaire bâtie sur la monarchie et le christianisme. Sur la façade de la Conciergerie, là où la reine Marie-Antoinette fut emprisonnée avant d’être décapitée, apparaît un groupe de métal rock, du genre que l’on voit au Hellfest, éructant, tandis qu’aux fenêtres sont placées des représentations animées de la reine Marie-Antoinette, la tête coupée et sous le bras chantant « Ah ça ira, ça ira, les aristocrates à la lanterne… ».
Quant à la Marseillaise, elle est chantée par une femme noire, illustration de la « nouvelle » France.
La promotion du « trouple »
Ensuite, est projeté le clip d’un « trouple » multiracial LGBT. Le message promeut l’échangisme et l’infidélité, la destruction de la famille traditionnelle qui permit à l’humanité de se bâtir sur des bases saines et durables.
La Garde républicaine clownesque
Puis, c’est Aya Nakamura qui sort de l’Institut français, autrefois temple du savoir regroupant les plus grands savants français. La nouvelle France accouche du vulgaire devant lequel gigote la Garde républicaine devenue ses clowns.
La parodie blasphématoire LGBT de la Cène
La suite est composée de drag-queens et travestis parodiant la Sainte Cène, le dernier repas de Jésus-Christ avec ses apôtres. Détail à noter : le chapitre 13 du livre biblique de l’Apocalypse décrit la bête de Satan avec sept têtes, comme la drag queen avec sa couronne au milieu, qui prend la place de Jésus-Christ. On remarquera enfin la présence d’une jeune fille au milieu de cette « troupe »…
L’encouragement à la débauche
Les drag queens poursuivent ce repas avec Dionysos, dieu grec du vin, symbole de l’ivrognerie et de la débauche qui s’ensuit.
Le symbole du cavalier de l’Apocalypse…
La scène suivante est celle d’un cavalier de l’Apocalypse apportant au galop le drapeau olympique.
Apocalypse 6:8 :
« Je vois un cheval vert pâle. Son cavalier s’appelle « la Mort », et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre. Ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la famine, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre. »
… qui apporte le drapeau olympique hissé devant le veau d’or
Enfin, le drapeau olympique est levé sur un mât en face duquel se trouve le veau d’or, adoré par les Hébreux qui tournèrent le dos à Moïse pendant que celui-ci cherchait auprès de Dieu les Tables de la Loi sur lesquelles figurent les Dix Commandements.
Macron, lors de l’une de ses interventions filmées, annonçait la Bête. Il vient de confirmer qu’il en célèbre le culte.
Pierre-Alain Depauw
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !