Le Dr Bianca Witzschel, 67 ans, a été condamnée à deux ans et huit mois de prison, à une interdiction d’exercer la médecine pendant trois ans et à une amende de 47 000 € pour avoir rédigé des exemptions aux obligations en matière d’injections et de masques anti-Covid en Allemagne.
Le Dr Bianca Witzschel était accusé d’avoir délivré de « faux » certificats dispensant les patients de porter des masques ou de recevoir le vaccin expérimental contre le COVID dans 1 003 cas à travers l’Allemagne entre 2021 et 2022.
Traitée comme une criminelle malgré les preuves médicales
Le juge allemand a complètement ignoré les preuves accablantes selon lesquelles les injections expérimentales contre le COVID ont causé des millions de morts et de blessures graves, ainsi que la récente déclaration dramatique d’un ancien ministre du gouvernement japonais s’excusant pour de tels décès, ainsi que les preuves largement répandues selon lesquelles les masques n’arrêtent pas la propagation du COVID. et peuvent réellement nuire aux utilisateurs.
Le médecin a été traité comme un criminel particulièrement dangereux et violent par les autorités allemandes. Bianca Witzschel était détenue depuis le 28 février 2023. Le premier jour du procès a eu lieu le 14 novembre, huit mois après son emprisonnement. Le procès n’a pas débuté dans la salle d’audience pénale habituelle du tribunal de district de Dresde, mais dans une aile de haute sécurité de la prison de Dresde, sur Hammerweg. En outre, Bianca Witzschel a été conduite dans la salle d’audience sous la garde de plusieurs agents de sécurité le premier jour du procès.
Avant le procès, les autorités avaient déjà procédé à des perquisitions à grande échelle au domicile des témoins. La police a perquisitionné 140 domiciles privés, principalement en Bavière. Au total, 174 exemptions ont été saisies. 360 policiers ont été impliqués dans les perquisitions.
Absurde comparaison entre Covid et choléra par le juge
Après l’arrestation du Dr Bianca Witschel en février 2023, le journaliste Boris Reitschuster a comparé les immenses efforts et ressources que les autorités allemandes ont consacrés à son cas et le traitement des criminels violents qui reçoivent souvent un traitement plus indulgent.
« Si l’État laisse presque régulièrement en liberté de grands criminels parce que le système judiciaire est débordé et que les agresseurs d’enfants, par exemple, s’en sortent toujours sans peine de prison, tandis que dans le même temps, les crimes à caractère politique sont poursuivis de manière excessive, alors le journalisme doit souligner ce contraste », a écrit Reitschuster .
Selon l’émission d’information financée par l’État « Tagesschau », les partisans de Bianca Witzschel ont dû être escortés hors de la salle d’audience lorsque le juge a lu le verdict, car ils ont commencé à se plaindre bruyamment et à chanter l’hymne national allemand.
Dans son explication du jugement, le juge a affirmé à propos du COVID : « Nous avons eu une épidémie comparable au choléra du 19e siècle. »
Le journaliste Stefan Magnet a commenté en réponse sur X : « Le juge qui a condamné le Dr Witzschel à une longue peine de prison a comparé le Corona aux épidémies de choléra du 19e siècle ! À l’époque, une personne infectée sur deux mourait ! »
« C’est complètement insensé de voir comment ce système judiciaire agit aujourd’hui », a-t-il ajouté.
Des nuisances du masque démontrées
De nombreuses études ont montré que les masques ne contribuent pas à atténuer la propagation du COVID-19 et peuvent avoir des effets négatifs sur la santé de ceux qui les portent.
Une étude publiée dans Annals of Internal Medicine en novembre 2022 n’a trouvé aucune différence entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux pour arrêter la propagation du COVID-19. Ces résultats ont été reflétés dans une méta-analyse Cochrane de janvier 2023 sur l’efficacité des masques.
Une étude de mai 2023 publiée dans Ecotoxicology and Environmental Safety indique que les respirateurs N95 peuvent exposer les utilisateurs à des niveaux dangereux de composés toxiques provoquant convulsions et cancer.
Pierre-Alain Depauw
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