Sans surprise, le journal Libération, oui ce journal gauchiste qui prenait autrefois la défense des pédophiles, est devenu le porte-voix des actions et mobilisations « contre l’extrême droite », mettant à jour le calendrier pour faciliter le désordre organisé. Soyez prudents, les prochaines semaines vont être agitées. Et ce n’est qu’un avant-goût de ce qui se passera après le 7 juillet.
Pillages, agressions et dégradations en vue
Attendez-vous à ce que l’ensemble des nervis antifas et autres casseurs anars sèment la terreur. Ils seront probablement rejoints en fin de manifestations par divers pillards de banlieues flairant la bonne opportunité.
« Cinq syndicats ont appelé dès lundi à «manifester le plus largement possible» durant le week-end du 15 et du 16 juin. La plupart des marches se dérouleront samedi, mais certaines sont prévues dès ce vendredi soir. Sur son site, la CGT liste 116 lieux de rendez-vous dans 95 départements. »
L’intersyndicale (CFDT, CGT, Unsa, FSU et Solidaires), les syndicats étudiants (la Fage, l’Unef), et une ribambelle d’associations (SOS Racisme, la Ligue des droits de l’homme, le Planning familial, les Soulèvements de la Terre, de nombreuses associations LGBT, etc) vont porter l’appel à ces manifestations partout dans le pays.
Les plus grosses manifestations sont prévues à Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Nice, Montpellier, Béziers, Avignon, Nantes, Rennes, Brest, Strasbourg, Nancy, Lille, Besançon, Rouen, Orléans, Angers.
Il faut craindre des attaques et des dégradations contre de nombreux lieux identifiés pour accueillir des réunions patriotes ainsi que contre des lieux de culte. La plus grande vigilance est de rigueur.
Pierre-Alain Depauw
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !