Drapeau français comme pièce à conviction - medias-presse.info

Drapeau français comme pièce à conviction

Nous vous avions déjà signalé que six hommes et deux femmes qui collaient des affiches en mémoire de Thomas (avec les slogans « 16 ans tué par des barbares », « tué car blanc », « Justice pour Thomas ») avaient été arrêtés à Lyon pour dégradation en réunion et provocation à la haine raciale.

Ils ont passé plus de 20 heures en garde à vue.

Délits mineurs mais sévérité maximale

La police a aussi perquisitionné les domiciles et les véhicules de chacun. Un couple s’est vu confisquer les quelques euros d’économies dont ils disposaient dans un coffre chez eux, et qu’il devront réclamer plus tard à la justice. Une autre militante raconte que la police a saisi chez elle un drapeau français comme pièce à conviction.

Six militants ont finalement été relâchés, sans que l’incitation à la haine, ni les dégradations en réunion, n’aient été retenues contre eux. Ils seront poursuivis pour apposition d’affiches sur un immeuble.

Deux autres personnes ont vu leur garde à vue prolongée et ont été déférés avant-hier pour transport d’arme de catégorie D. La police a en effet retrouvé dans leur véhicule… une bombe lacrymogène.

Tout cela pour permettre d’agiter le spectre de « l’ultradroite » dans les médias du système.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

2 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !