Une nouvelle analyse ADN démontre que les affirmations sur les origines noires de « Beachy Head Lady » étaient totalement fausses.

Pourtant l’historien britannique David OLUSOGA avait affirmé qu’il existait « une relation durable entre la Grande-Bretagne et les gens dont les origines sont en Afrique ».

Il était appuyé dans sa démonstration par un certain Atinuke, lui-même d’origine nigériane et auteur du récent livre Brilliant Black British History dans lequel il affirme : « Absolument chaque Britannique descend d’un migrant […] mais les tout premiers Britanniques étaient noirs. »

Tout ce bel édifice racialiste s’est soudainement effondré lorsque  Jo Seaman, l’archéologue qui avait analysé les restes de la « Beachy Head Lady », a poussé plus loin son analyse et a modifié son article scientifique en conséquence : « L’étude ADN a montré que, bien qu’elle ait grandi à Eastbourne, ses ancêtres étaient originaires du sud de l’Europe – probablement de Chypre. » 

Nos confrères de Boulevard Voltaire ironisent, à raison, sur cette pauvre Grande-Bretagne « noyée dans le wokisme » :

« Nos voisins ont peut-être quitté l’Union européenne, mais ils peinent à larguer les amarres du wokisme. Eux aussi, à la BBC, comme Delphine Ernotte, patronne de France Télévisions, ils décrivent leur pays non pas comme il est mais comme ils voudraient qu’il fût (j’ajoute, par correction grammaticale – Mme Ernotte ne l’avait pas fait -, l’imparfait du subjonctif, cette nuance typiquement française, c’est-à-dire probablement subsaharienne).

Que ne doit-on pas aux Africains !

Ils ont bâti les relais 5G des Pyramides, la tour Eiffel, le cercle de Stonehenge (probablement une zone de poser pour les soucoupes volantes du Wakanda), ils ont gagné la guerre de 14, inventé la chevalerie et ce sont les premiers Britanniques ! On leur doit bien la CAF et la CMU pour l’ensemble de leur œuvre. Ça paraît la moindre des choses. »

Se cogner contre le mur des réalités est très pénible pour les « déconstructeurs » d’Outre Manche qui ont été obligés d’avaler leur chapeau melon.

En effet, les conseillers paroissiaux du village d’East Dean (où les archéologues avaient découvert les restes de la femme vieux de 1 800 ans), dans l’Essex, ont voté en faveur du retrait de la plaque installée par la BBC au pavillon de cricket.

Enfin, rappelons simplement aux innombrables idéologues de notre temps ce court proverbe latin :  « Contre un fait il n’existe pas d’argument ».

Paul DEROGIS

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