Interdiction de l'hommage à Pierre Sidos

Ce samedi matin, quelques représentants du mouvement Les Nationalistes avaient prévu de se rendre au cimetière de Thiais (Val-de-Marne) pour déposer une gerbe de fleurs sur la tombe de Pierre Sidos, fondateur du mouvement L’œuvre française.

Mais cet hommage au défunt Pierre Sidos a été interdit par la préfecture.
Yvan Benedetti, président du mouvement Les Nationalistes et ancien élu du Front National, a d’abord été verbalisé puis interpellé pour sa gerbe de fleurs !
Personne n’a pu entrer dans le cimetière sauf la petite fille de Pierre Sidos.
Contrôles d’identité et dispersion immédiate exigée par les nombreuses forces de police présentes sur place, bien plus nombreuses que les quelques militants nationalistes qui avaient fait le déplacement.

Le Comité de Liaison et d’Aide Nationaliste (CLAN) a écrit sur ses réseaux sociaux :

Yvan Benedetti a été interpellé peu avant 11h devant le cimetière de Thiais. La préfecture de Police de Paris avait déployé un important dispositif policier pour empêcher l’hommage sur la tombe de Pierre Sidos à l’occasion des trois ans de sa disparition. Des rondes étaient organisées à l’intérieur même du cimetière autour des tombes.

La folie répressive du système n’a plus de limite. À présent, il nous est même interdit d’honorer nos défunts.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !