Sale temps pour l’arc-en-ciel : Sam Brinton des États-Unis, le drag queen non binaire et protégé de Joe Biden, nommé sous-secrétaire adjoint du Bureau de l’élimination des déchets au département américain de l’Énergie, ne s’est peut-être pas distingué pour son travail à la Maison Blanche (dont nous ne citerons que les tenues inappropriées arborées entre les murs présidentiels), mais son cursus de voleur de valises est réputé dans le monde entier.
Sam Brinton, un sous-secrétaire adjoint non binaire de l’administration Biden, est menotté
Déjà pris deux fois les mains dans le sac, voire dans la valise des autres (malgré le salaire, plus la voiture, de 180 mille dollars par an offert par l’administration Biden), un autre épisode surgi en février, datant de 2018, lui a coûté l’arrestation effectuée par la police du Maryland. Selon les archives du comté examinées par Fox News Digital, Brinton aurait été arrêté à Rockville. Un porte-parole de la police de l’autorité aéroportuaire métropolitaine de Washington (Mwaa), le principal organisme d’application de la loi pour les aéroports de Washington DC, a confirmé que l’arrestation était liée au troisième vol de bagages à l’aéroport impliquant Sam Brinton.
Les vols et les procès
L’ancien fonctionnaire a été menotté à 22 heures mercredi soir dans son appartement de College Parkway. L’arrestation intervient un mois après que Brinton a évité une peine de prison dans deux affaires distinctes au Minnesota et au Nevada. En octobre dernier, la police a accusé l’homme d’avoir volé les bagages d’un voyageur, d’une valeur totale de 2 325 $, sur le carrousel à bagages de l’aéroport de Minneapolis. À la suite de cet incident, début décembre, les procureurs de Las Vegas ont inculpé Sam Brinton de vol aggravé d’un objet d’une valeur comprise entre 1 200 et 5 000 dollars.
L’homme a ensuite été accusé d’avoir volé une valise d’une valeur totale estimée à 3 670 $ le 6 juillet à l’aéroport international Harry Reid de Las Vegas. Le sac contenait 1 700 dollars de bijoux, 850 dollars de vêtements et 500 dollars de maquillage. Brinton devrait purger jusqu’à 15 ans au total pour les deux vols présumés. Cependant, dans les deux cas, les juges américains, certains étant aussi vendus à la doxa arc-en-ciel qu’en France, avaient jugé que la prison n’était pas nécessaire pour Sam Brinton.
La robe de la discorde
En février, les projecteurs braqués sur Sam Brinton s’étaient à nouveau rallumés avec la dénonciation fracassante d’une créatrice originaire de Tanzanie, qui l’accusait d’avoir porté publiquement ses créations customisées contenues dans un bagage dont elle avait signalé la disparition en 2018. La police de Houston avait renvoyé l’affaire au FBI. La créatrice avait partagé des images du fonctionnaire portant ses costumes sur mesure volés. « J’ai vu les photos. Ce sont mes créations personnalisées, qui se sont perdues dans ce sac en 2018 », a déclaré la femme au NYPost, peu de temps après avoir tweeté des images de Brinton dans une robe aux couleurs vives. Elle avait expédié des vêtements qu’elle avait personnellement confectionnés à Washington pour un défilé de mode auquel elle était censée assister. Les vêtements ne sont jamais arrivés à destination parce que quelqu’un a volé les bagages. Et le fonctionnaire ‘inclusif’ a fini reclus en prison.
Qui sait si le drag queen Brinton, protégé de Joe Biden, trouvera encore quelque chose à voler en prison ? Mais il y perdra peut-être sa folie arc-en-ciel…
Francesca de Villasmundo
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