Dans cette « Eglise conciliaire » il est autorisé de prier avec les
LGBTQ+ mais pas de prier pour le repos de l’âme de Maurras
M. l’abbé Thierry Laurent vient de recevoir une lettre de réprimande de son évêque parce qu’il a osé célébrer une messe (1) pour le repos de l’âme de Charles Maurras le 16 novembre dernier en l’église Saint-Roch de Paris.
En effet, comme l’atteste une feuille paroissiale rendue publique et adressée à l’abbé en guise de réprimande, l’archevêché de Paris évoque cette messe et pointe du doigt « un contenu politique déplacé en provocant ».
De son côté, le vicaire général Michel Gueguen ajoute dans le courrier que la tenue de cette célébration n’était pas « signe de la charge d’enseigner et de sanctifier le peuple chrétien ».
Faisant état de sa « désapprobation la plus vive » quant au comportement du curé, Michel Gueguen l’a sommé « de corriger son attitude » et de se montrer plus discret sur ses engagements politiques, au risque de faire l’objet d’une procédure interne. En poste depuis 2017, le prêtre de Saint-Roch pourrait prochainement être muté.
Pendant ce temps, le diocèse de Metz fait les louanges de la communauté LGBTQ+ en organisant une rencontre pour “accueillir nos proches homosexuels et transgenres“.
A l’évidence, les responsables religieux de Metz seront louangés tandis que celui de Saint-Roch, à Paris, risque une mutation-sanction.
Un conseil, si vous nous le permettez cher abbé Laurent, quittez cette « Eglise conciliaire » qui n’a plus rien de catholique et rejoignez la Tradition qui vous félicitera pour votre action charitable envers un défunt qui a tant besoin de prières.
(1) Messe Paul VI
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