Le média régional Breizh Info revient sur l’attaque ahurissante d’une église et de ses fidèles, en pleine messe, par des antifas à Angers, en marge de la manifestation du 1er mai, la police… finissant par interpeller un des fidèles catholiques. Nul doute que si une mosquée ou une synagogue était ainsi attaquée, Angers et ses groupuscules violents d’ultra-gauche feraient la Une des chaînes d’information.
« A Angers, l’extrême gauche et les Antifas ont détourné la manifestation pour la diriger vers l’Eglise Notre-Dame de la Victoire. Les photos des dégradations parlent d’elles mêmes.
Pour certains, c’était prévisible ; le Réseau Angevin Antifasciste ayant donné RDV à ses troupes aux côtés des syndicats à 10h30 place Imbach, beaucoup s’attendaient à des frictions entre l’extrême-gauche, massée devant la bourse du Travail, et les paroissiens de Notre-Dame des Victoires, de l’autre côté de la place.
Alors que la messe avait commencé depuis un bon quart d’heure, le cortège des syndicats s’est élancé. Aux traditionnels slogans anticapitalistes se mêlaient ceux, non moins éculés, appelant à abolir les frontières et combattre le fascisme. Alors que les manifestants passaient devant ND des Victoires, des paroissiens en retard se frayant un passage dans la foule ont été malmenés et visés par des jets d’oeufs et de peinture.
Immédiatement, des jeunes ont voulu quitter l’office pour empêcher ces agressions ; c’était peine perdue, un cordon de police encadrant les lanceurs de projectiles, à défaut de les interpeller. En plus de paroissiens, l’église elle-même a été dégradée, à l’intérieur comme à l’extérieur, par des jets de peinture notamment. Durant une dizaine de minutes, un cortège masqué et cagoulé est resté ainsi à insulter les jeunes catholiques surveillant la porte de leur église, agrémentant leurs noms d’oiseaux de slogans antifas.
Une petite heure plus tard, un commando plus imposant (200 personnes environ) s’est détaché du gros du cortège de la fête du Travail pour retourner vers l’église. Derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire « Nous sommes venus défier celleux qui passent leur temps à se déifier », des hommes en noir, le visage masqué, ont craqué des fumigènes en annonçant leur intention d’en découdre.
Devant le minuscule dispositif policier présent à ce moment pour protéger les femmes et les enfants présents dans l’église, une dizaine de jeunes catholiques en légitime défense, ont préféré charger les antifas plutôt que de les laisser atteindre une nouvelle fois leur lieu de culte que ces derniers prennent tant de plaisir à dégrader.
Suite à cette charge un peu téméraire, aucun blessé grave n’a été à déplorer. La bagarre, interrompue violemment par la police, a été filmée sous différents angles. À l’issue de celle-ci, l’un des paroissiens a été placé en garde-à-vue avant de ressortir quelques heures plus tard ».
La presse locale a quasiment accusé les fidèles d’être fascistes car ils ne se sont pas laissés faire, tandis que les politiques gardaient un silence de mort – à l’exception notable du groupe RN du conseil régional des Pays de Loire qui a demandé la dissolution des groupes d’extrême-gauche violents.
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