Comment interpréter la Saga des dernières élections présidentielles en Amérique ? Pour comprendre, il convient d’abord de savoir comment cela se passe.

Pour nous éclairer, vous et moi, j’ai consulté un petit livre (1) qui semble être idéologiquement proche des démocrates mais est fort clair sur l’historique et l’état actuel du système électif dans les USA.

Le traité international de Paris de 1783 reconnaît l’indépendance des États-Unis d’Amérique, qui avait déjà été déclarée le 4 juillet 1776 par le Second Congrès continental (2) avant la fin de la guerre d’indépendance. Les 13 colonies américaines s’étaient alors unies sous un statut de confédération.

En 1787, devant la faiblesse du pouvoir confédéral et son impuissance à faire adopter d’élémentaires règles de base pour l’union en matière de commerce et de protection des libertés fondamentales communes, les treize anciennes colonies envoient des délégués à Philadelphie. Après quatre mois d’âpres discussions, on arrive à définir une constitution de type fédéral. Toutefois dans le souci de ne pas reconstituer un pouvoir central tyrannique-monarchique comme celui qu’ils ont connu lors de la colonisation, ils optent pour un président unique élu pour quatre ans dont les pouvoirs seraient contrebalancés par ceux de pouvoirs législatifs et judiciaires. L’on trouve là déjà le Congrès (3) (pouvoir législatif) et Cour suprême (le pouvoir judicaire).

Pour la suite il convient de conserver en tête que le nouveau système fédéral reste imprégné aujourd’hui encore d’une forte pensée confédérale avec le souci de préserver les intérêts de chaque état signataire. Les états doivent garder une forte autonomie de décision (plus que ce que nous connaissons aujourd’hui dans l’union européenne) et les plus petits états ne doivent pas être marginalisés par les plus gros. Cela reste valable pour les cinquante états qui constituent les Etats-Unis d’Amérique.

C’est pourquoi, le Président n’est pas élu au suffrage universel direct, mais par les états. Chaque état a droit, selon son importance démographique, à un certain nombre de grands électeurs qui éliront le Président. Ces grands électeurs seront choisis lors des élections parmi des délégués de partis désignés selon diverses procédures dans les différents états (à l’origine par les partis). Lors des élections fédérales, un certain nombre sera élu au suffrage universel dans chaque état. Ils ne sont pas choisis pour eux-mêmes, mais en fonction des candidats qu’ils représentent et pour lesquels ils se sont engagé à voter. On ne voit d’ailleurs pas toujours leurs noms sur les bulletins de vote, mais parfois seulement le libellé du Ticket (4) pour lequel l’électeur veut les voir voter. Certains délégués sont liés à un engagement irréductible de vote pour un ticket donné, d’autres non (5). Historiquement, s’il y a eu quelques cas de grands électeurs qui n’ont pas voté selon leur engagement, cela est toujours resté très limité et sans impact sur les résultats de l’élection présidentielle.

Ainsi le premier mardi de novembre, chaque année bissextile (tous les quatre ans), le peuple américain se rend aux urnes pour élire, non pas le président, mais un total de 538 grands électeurs. Il y a, pour chaque État, un nombre de grands électeurs qui correspond à l’addition du nombre de sénateurs (deux) et d’un certain nombre de représentants (qui varie en fonction de la population recensée tous les dix ans).

Le jour de l’élection se déroulent 51 scrutins : un par État et un dans le district de Columbia (6) Leur organisation relève de la compétence des États fédérés. Les bulletins de vote (ballots) sont complexes ; en même temps que l’élection présidentielle, on procède à des renouvellements d’une partie des membres du congrès, à des votes internes à chaque état et à des consultations populaires locales.

Le point faible des élections américaines résulte de cette décentralisation : bulletins complexes pouvant mener à l’invalidation si mal remplis, méthodes de vote diverses (par correspondance ou en bureau de vote en proportions variables) ; délais et durées différentes permettant le rejet de bulletins reçus au-delà de certaines dates ; difficulté de vérification des identités souvent basée sur une reconnaissance de la signature (il n’y a pas de carte d’identité obligatoire). Certains états exigent un document avec photo, d’autres se satisfont d’une facture d’électricité ou même d’un simple engagement sur l’honneur. Les méthodes d’enregistrement et de dépouillement sont disparates, manuelles ou par machines diverses, lecture optique des bulletins ou simple comptage de bulletins préalablement triés. Les machines de vote et de comptage parfois vétustes et leurs programmes souvent obsolètes, sont confrontés à des pannes ou des bugs. Les votes par correspondance qui augmentent sont une source de tricherie plus facile, les programmes informatiques parfois anciens et trop perméables à des hackers peuvent aussi l’être (tricherie techniquement plus exigeante mais potentiellement réalisable à plus grande échelle).

Pour toutes ces raisons la contestation des résultats, la demande en justice de recomptages est une procédure légalement prévue et souvent engagée, spécialement en cas de résultats serrés (7). Il n’y faut voir qu’une procédure respectant la constitution, normale, historiquement fréquente et n’impliquant nullement une mentalité de mauvais perdant mais confortant la validité du vote et la légitimité de l’élu. Pour ces dernières élections, il faut admettre que Donald Trump, soumis depuis le début de sa présidence à l’hostilité des médias et de l’establishment et ayant dû se sortir de multiples coups bas de ses adversaires, puisse engager ces procédures au vu de multiples témoignages et indices nettement troublants relatifs à de nombreuses tricheries possibles ou probables pour ne pas dire plus.

On notera que n’ayant pas renoncé aux recours que son équipe juridique a ou va déposer, Donald Trump a autorisé le déblocage des montants dont le président suivant peut disposer pour son organisation, dans le souci du bon fonctionnement des institutions et pour éviter à la personne responsable, qui attendait la confirmation de l’élection de Joe Biden, l’inquiétude due aux menaces nombreuses y compris de mort qu’elle recevait en n’acceptant pas la libération de ces montants. Il a également permis à l’équipe du candidat démocrate d’accéder aux dossiers, démentant les accusations qui le disaient mauvais joueur voulant saboter la succession.

Revenons sur ces indices, témoignages et constatations (8), citons en quelques uns :
– Sacs de ballots pour Trump trouvés à la décharge ; sacs transportés par la police de l’état (qu’aurait-on dit s’il s’agissait d’élections en Russie ?) ; ballots passés plusieurs fois dans la machine à compter ; votes de personnes décédées (le cas même d’un défunt du 19e siècle) ; nombreux témoignages sous serment (9) de fraudes par manipulations de bulletins (en écrasante majorité en faveur de Biden ; erreurs d’enregistrement 15300 voix et un petit peu plus pour Biden devenant 150300 et un petit peu plus (faute de frappe remarquée et corrigée mais surprenante, le zéro ne se trouvant pas entre le 5 et le 3 sur les claviers) ; bureaux de dépouillement occultant leurs fenêtres pour empêcher de voir ce qui s’y passe de l’extérieur (c’est légalement interdit) ; sacs de ballots amenés par camion immatriculé dans un autre état et déchargés par une porte dérobée non contrôlée par des « surveillants » électoraux ; certains surveillants (républicains) empêchés de faire leur travail ; bureau de dépouillement s’arrêtant le soir et reprenant son travail dès les surveillants républicains partis ; 353 comtés appartenant à 29 Etats ont un nombre d’électeurs supérieur au nombre d’habitants ayant la nationalité des Etats-Unis et ayant l’âge de voter.
– Le problème de l’extension des votes par correspondance voulue par les démocrates, votes généralement plus favorables à ceux-ci et favorisant la possibilité de fraudes (10). Extension des durées de prise en compte de ces votes parfois jusqu’après la fin du vote dans les bureaux etc.  On a observé les éléments suivants : ballots envoyés à de mauvaises adresses ; ballots se limitant bizarrement au seul vote présidentiel (11) ; sacs entiers de ballots ne contenant presque exclusivement que des votes pour Biden surtout dans les derniers arrivés ; similitudes troublantes de la façon dont été remplis de nombreux ballots, comme si cela avait été de la même main ; des enveloppes des vote par correspondance non conservées, ce qui empêche tout contrôle ultérieur (les signatures sont sur l’enveloppe) ; bulletins de vote en parfait état, sans plis, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas été postés dans des enveloppes comme l’exige la loi ; des plaintes de votants par correspondance qui n’auraient pas été pris en compte et d’autres dont le vote par correspondance a été enregistré qui affirment n’avoir pas voté ainsi lors d’enquêtes, etc.
– la suspicion (12) concernant les machines de vote Dominion et dont certaines utilisent un logiciel Smartmatic dont le mode d’emploi prévoit des possibilités de classement et de traitements susceptibles de servir à la fraude. On a remarque certains phénomènes peuvent faire penser à la présence d’algorithmes pouvant réagir aux résultats. On aurait aussi trouvé parmi les propriétaires de cette dernière société des personnes liées à des mouvements gauchisants, deux argentins qui auraient des accointances avec Chavez et Maduro et un collaborateur de Soros. On suspecte aussi des possibilités d’interventions extérieures étrangères à distance sur le programme.
– Une série de phénomènes statistiques suspects : le plus marquant est celui survenu la nuit du 3 novembre où de nombreuses courbes des votes pour Joe Biden, qui étaient en dessous de celles de Trump, passent en un temps très court au dessus de celles de Trump par un décrochement de courbe presque vertical, phénomène considéré tout à fait anormal par les statisticiens. On observe aussi des arrivées tardives et massives de votes pour les démocrates alors que normalement les ballots démocrates arrivent avant les votes républicains (13). Ces anomalies semblent d’autant plus suspectes qu’elles surviennent au moment et là où l’on a observé que les prophéties des instituts de sondage défavorables à Trump se trouvaient largement démenties par les faits ; une certaine panique des démocrates pourrait expliquer ces manipulations trop brutales et trop visibles.

Il faut aussi signaler l’impact des médias dans leur presque unanimité occupés à d’une part occulter les réalisations positives de Trump et censurant d’autre part toute allusion au scandale de Hunter Biden, le fils de Joe. Un ordinateur portable oublié en réparation a dévoilé les relations inacceptables de ce dernier avec la République Populaire de Chine durant la vice-présidence de son père lors de la présidence de Barack Hussein Obama. Des privilèges accordés et des montants importants touchés dont une partie a été reversée à son père sont apparus. L’enquête a confirmé l’appartenance de ce portable au fils Biden. Deux sondages ont été effectués depuis pour Media Research Center par McLaughlin & Associates et signalés sur le site de fdesouche (14) le 25 novembre. Les résultats analysées pour les six états les plus décisifs indiquent que si les électeurs avaient été au courant des questions problématiques qui tournent autour du démocrate et de certains des succès de la Maison Blanche sous Trump, notamment les accords de paix au Moyen-Orient, la croissance de l’emploi et l’indépendance énergétique, dont beaucoup n’ont pas eu connaissance vu la censure des médias, suffisamment de personnes se seraient détournées de Biden pour donner à Trump 311 votes électoraux (15)

Où en est-on aujourd’hui ?
A l’issue des élections, le 7 novembre Biden se voyait attribuer par la presse 306 grands électeurs contre 232 à Trump, mais les résultats dans 5 états n’étaient pas encore validés.
Le 23 novembre on arrive à 232 contre 223 confirmés. Les cinq états aux résultats non encore approuvés représentent 73 grands électeurs (16). De nombreux recours ont été déposés par l’équipe Trump.
Le 2 décembre : discours de Donald Trump (17). Discours essentiel de plus de 40 minutes sur ce qu’il considère les trucages de l’élection avec présentation des arguments. Discours vite présenté comme contesté ou censuré sur les principaux medias.
Le 7 décembre : Le procureur général du Texas demande à la Cour suprême d’invalider les résultats de l’élection présidentielle dans 4 Etats-clés (18) à cause de l’extension du vote par correspondance sans approbation du Congrès de leur Etat en violation de la loi.
Le 10 décembre : le dépouillement terminé à 100 % dans les 50 états donne, en l’état, 306 grands électeurs pour Biden contre 232 pour Trump ; on apprend aussi que les procureurs généraux de 17 États américains (19) soutiennent la demande du Texas auprès de la Cour suprême.
Le 11 décembre la Cour suprême joue les Ponce Pilate et se lave les mains, justifiant son refus de prendre le dossier en charge d’une seule phrase : « le Texas n’a pas démontré qu’il avait le droit de soumettre à la justice la manière dont un autre État organise ses élections ») (20). La demande du Texas n’avait pourtant pas été faite au hasard puisque dix-sept autres États s’y étaient joints. La crainte d’émeutes (objective en ce qui concerne une partie des soutiens de Biden) l’a emporté sur le respect de la constitution.
Le 15 décembre le collège des grands électeurs a voté conformément aux résultats du 10 décembre. Il est improbable qu’il revienne sur sa décision lors de la cérémonie officielle le 6 janvier.
Les recours judicaires ne sont toutefois pas abandonnés. Par exemple : le juge Kevin Elsenheimer, un juge du Michigan, a autorisé le 14 décembre la publication d’une analyse judiciaire des données du système de vote “Dominion” utilisé dans le comté d’Arntrim (Michigan). Ce rapport indique dans son article B-2, que le système de vote Dominion est “intentionnellement et délibérément conçu avec des erreurs inhérentes pour créer une fraude systémique et influencer les résultats de l’élection”. Le juge a donc autorisé la publication de ce rapport d’experts.

Que va-t-il advenir ? Sauf coup de théâtre, le 6 janvier 2021, lors d’une session commune du Congrès et de la Chambre des représentants le décompte final et le vote des grands électeurs seront confirmés et les résultats proclamés. Ce n’est que si les chambres de représentants des états n’avaient pas toutes décidé de ratifier les résultats que l’élection du nouveau président se serait fait par les représentants des états au congrès à raison d’un électeur par état. Cela aurait été favorable à Trump, 27 états sur 50 lui étant acquis. Comme il n’en est rien, l’intronisation Joe Biden sera actée et son intronisation aura lieu le 20 janvier. Mais il risque une sortie infamante en cours de mandat si des enquêtes sont poursuivies et confirment des fraudes ayant faussé les résultats.

Conclusion : on peut en tout cas dire que ces élections auront un impact important sur le futur fonctionnement de la démocratie américaine et que Trump ne sera pas vraiment perdant, du moins par l’impact durable de sa présidence sur son pays. A titre personnel, par ailleurs, il a obtenu de l’ordre de 11 millions de votes (ou davantage) de plus que lors de sa première élection, fait rare pour un président sortant se représentant à son deuxième mandat. Mais surtout les USA auront vu la naissance au sein du parti républicain d’un mouvement conservateur populaire durable, mouvement qui par ailleurs a reçu le soutien d’à peu près une moitié des américains (74 millions) dont de nombreux citoyens issus de minorités anciennement presque totalement démocrates. Environ 40 % des Hispaniques et 10 % des noirs ont voté Trump. Ce dernier pourrait bien se représenter en 2024 et le laisse déjà entendre. On voit mal quel autre candidat républicain pourrait lui être préféré aux primaires. On peut s’attendre aussi à une importante campagne d’accusations, de calomnies et d’actions en justice contre le président sortant et relatives à son passé, menées par les démocrates terrifiés à l’idée de sa possible victoire aux prochaines élections présidentielles. Feront-elles toutes un flop comme toutes celles tentées dès le début de son mandat ? Les fraudes avérées, décisives ou non sur le résultat des élections, auront-elles des conséquences sur l’organisation des futures élections de 2024 ?
Qui vivra verra.

Dernier suspense : le deuxième tour pour l’élection partielle du sénat, le 5 janvier on votera pour deux sièges à pourvoir encore. Les démocrates doivent remporter ces deux sièges pour pouvoir contrôler cette chambre. Si cela arrivait, il n’y aura plus de contre-pouvoir pour la présidence démocrate. Ce seront quatre ans de république bananière entièrement soumise à la pensée unique, à la haine antiraciste, aux utopies moralement destructrices, mondialistes, migratoires et climatologiques avec un président moralement discuté, à l’élection douteuse, proche de la sénilité et annonçant déjà une volonté de rejouer le gendarme du monde.

1 Elisabeth Vallet, Comprendre les élections américaine – édition 2020, éditions du Septentrion .
2 Le Second Congrès continental est le nom donné à l’assemblée de délégués des 13 colonies américaines qui siégea du 10 mai 1775 au 1er mars 1781. Il adopta la Déclaration d’indépendance des États-Unis du 4 juillet 1776, ainsi que les Articles de la Confédération (Wikipédia)
3 Actuellement le Congrès est constitué de deux chambres : chambre haute composée de 100 sénateurs (deux par État) et la chambre basse (chambre des représentants) composée de 435 représentants tous élus au suffrage universel direct.
4 Le Ticket est le tandem que forment le candidat à la présidence et le candidat à la vice-présidence.
5 Dans certains états cette liberté n’existe pas et des poursuites judicaires sont même possibles en cas de vote contraire à
ses engagements.
6 La ville de Washington, capitale des USA à ne pas confondre avec l’état de Washington.
7 En 2000 déjà, Georges W. Bush a été déclaré élu contre Al Gore jusqu’alors considéré comme gagnant, après
contestation des résultats en Floride et décision de la Cour Suprême et ce 27 jours après la clôture des votes.
8 Je cite ce que j’ai pu trouver. On se réfèrera à quelques sites qui on fait de relevés des faits et à différents articles sur
internet. On consultera avec profit les articles de MPI ( https://www.medias-presse.info/?s=elections ), du Salon beige
( https://www.lesalonbeige.fr/?s=elections + ), de f. Desouche ( https://www.fdesouche.com/tag/donald-trump/ ), du
Comité Trump France ( https://twitter.com/trumpfrance?lang=fr ) ou le compte youtube d’Edouard Husson. Une bonne synthèse aussi par Charles Gave sur Sud Radio, vidéo à ne rater sous aucun prétexte : https://youtu.be/8YxusY171ug et
bien d’autres.
9 On notera que les témoignages sous serment aux USA ont une valeur certaine car les témoins sont soumis à de lourdes peines pénales en cas de mensonge avéré.
10 On se souviendra que le vote par correspondance a été supprimé en 1975 en France justement pour éviter les fraudes.
11 Les bulletins de vote reprennent non seulement cette élection mais d’autres concernant le Congrès fédéral, des votes relatifs à l’état où l’on vote, des référendums…
12 Pas de conclusion définitive encore au moment de le rédaction de cet article.
13 Dans les comtés de beaucoup d’états, l’on trouve une grande ville, où le vote démocrate domine et où se fait le dépouillement, entourée de zones périphériques où le vote républicain est plus fort. Vu la distance, les ballots de ces zones parviennent généralement plus tard aux bureaux de dépouillement.
14 https://www.fdesouche.com/2020/11/25/etats-unis-un-sondage-montre-que-trump-aurait-atteint-au-moins-311-grands-electeurs-avec-une-couverture-equilibree-de-lelection-par-les-medias/
15 Pennsylvanie (-15%), Michigan (-14 %), Géorgie (-15 %), Arizona (-21%), Wisconsin (-13%), Nevada (-18%).
16 Les plus sensibles sont le Wisconsin, l’Arizona, la Géorgie et le Nevada où les écart entre les deux candidats sont respectivement de 0,6 %, 0,3%, 0,2% et 1,2 %.
17 https://www.youtube.com/watch?v=iE-ZxxyOuqM tout le discours avec sous-titres français.
18 la Georgie (16 électeurs au Collège électoral), le Michigan (16 électeurs), la Pennsylvanie (20 électeurs) et le Wisconsin (10 électeurs).
19 Sont cités : Alabama, Arizona, Arkansas, Caroline du Sud, Dakota, Floride, Indiana, Kansas, Louisiane, Mississippi, Missouri, Montana, Nebraska, Oklahoma, Tennessee, Utah et Virginie-Occidentale.
20 On notera que selon l’article III de la Constitution des États-Unis, les « Controversies between two or more States » (différends entre deux États ou plus) sont du ressort de la Cour. Elle-même avait précédemment jugé que de tels différends pouvaient concerner les questions électorales.

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