Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, malgré les circonstances dramatiques, peut se réjouir : le dernier et effroyable attentat de Nice, suite macabre d’autres tueries islamistes sur le sol européen, donne raison à sa ferme politique anti-immigration.
Orban, le Hongrois, détesté par les oligarques à la Soros et les puissances européennes, est le seul chef d’État qui s’oppose dans les faits à la vague des invasions. Une opposition qu’il n’est pas prêt de stopper.
« Les Africains devraient avoir un avenir en Afrique», a-t-il déclaré à la radio publique, commentant l’attaque terroriste de jeudi 29 octobre dernier à Nice, ajoutant que « si vous ne voulez pas céder, la seule chose que vous pouvez faire est de leur refuser l’entrée ». « Si nous ne voulons pas voir des cas comme celui de Nice, nous ne devons pas leur permettre d’entrer », a déclaré Orbán. « Mis à part les quelques-uns déjà ici, nous ne voulons pas de nouveaux entrants, surtout pas de migrants [illégaux] », a-t-il ajouté. « Les Hongrois ont vécu 150 ans avec les musulmans, ils les connaissent », aussi le gouvernement hongrois, continue-t-il « ne doit pas permettre à Bruxelles d’imposer à la Hongrie des règles en vertu desquelles nous devrions autoriser l’entrée à des personnes que nous ne souhaitons pas voir, et ensuite aller aux funérailles ».
Leçon de réalité politique…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
Ils nous font un coup de COVID, histoire de rallier les pétochards.
Nos casseurs du camp du bien roulent pour Trouposol 1er. Les petits Bourges vont faire la guérilla urbaine et les racailles vont faire leurs emplettes des soldes.
Les forces de l’ordre et le pouvoir judiciaire seront du côté des casseurs pour empêcher le citoyen moyen de se défendre.