Alors que pour les Français les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits, pour les migrants le ministre de l’Intérieur Castaner laisse faire.
A Paris, samedi 30 mai, a eu lieu une manifestation de milliers de clandestins encadrés par les associations immigrationnistes et les groupuscules antifas. Au milieu des manifestants, se trouvait le député des Bouches-du-Rhône François-Michel Lambert, qui a pris la parole et s’est affiché en première ligne de la manifestation. L’ancien membre du groupe LREM à l’Assemblée a dit « exiger la régularisation de tous les sans-papiers » sous les acclamations des manifestants.
« Sans-papiers » mais pas sans Iphone… MLP #SansPapiers #Expulsions pic.twitter.com/0j477HGa3Y
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) June 1, 2020
La manifestation qui avait été interdite par la préfecture à cause du coronavirus a été tolérée pendant plus d’une heure avant qu’elle ne dégénère lorsque les policiers ont demandé aux participants de se disperser. Des violences entre forces de l’ordre et clandestins ont alors éclatés. Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes, les LBD, les canons à eau, les blindés de la gendarmerie étant réservés pour réprimer uniquement les Français.
PARIS – Après des sommations, les forces de l’ordre utilise du gaz lacrymogène pour évacuer. pic.twitter.com/yQSmgUFBq2
— Clément Lanot (@ClementLanot) May 30, 2020
Certains élus se sont quand même émus de ce laxisme :
« En pleine pandémie, cette manifestation illégale est une provocation indécente. Castaner, comment avez-vous pu laisser ce rassemblement de haine se dérouler en plein Paris » ? demande le député Eric Ciotti.
L’appel à manifester a été relayé par le collectif « La marche des solidarités » et soutenu par plus de 195 associations. Les manifestants et leurs soutiens jouent sur la crise sanitaire pour demander leur régularisation à l’instar de ce qui s’est passé en Italie ou en Espagne où de nombreux « sans-papiers » ont été régularisés sous un prétexte économique. Dans des pays qui comme la France voient leur autochtones manifester pour ne pas être licenciés…
L’establishment politique mondialisé continue à marche forcée à favoriser le Grand Remplacement.
Francesca de Villasmundo
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