Suède – Le Conseil suédois de l’éducation préconise l’abandon de l’enseignement de l’histoire dans les collèges, hormis, bien sûr, la Seconde Guerre mondiale et l’ère postmoderne incluant les questions de genre, le climat et la migration.
Les plans de cours révisés ont pour prétexte un manque de temps pour les cours d’histoire dans les écoles suédoises. Les élèves des classes de collège doivent se concentrer davantage sur le XXe siècle, en particulier sur l’Holocauste, la guerre froide et les idées qui ont formé la Suède pendant l’après-guerre. Il est aussi explicitement préconisé de sensibiliser l’opinion des élèves aux questions de genre, de migration et de racisme.
Il y aura cependant suffisamment de temps pour couvrir l’esclavage et le colonialisme occidentaux au cours du XVIIIe siècle et au-delà. Mais les 100 millions de morts du communisme au XXe siècle ne sont pas mentionnés comme un sujet important à étudier dans les programmes d’histoire révisés.
Les collégiens suédois âgés âgés de 13 à 15 ans n’auront donc plus d’enseignement de l’histoire traitant de la période antérieure au XVIIIe siècle. Il ne leur sera rien enseigné de la Grèce antique, de Rome ou de l’ère de la Grande Puissance suédoise (1611-1718), lorsque la Suède régnait sur les pays du pourtour de la mer Baltique, sujets effacée des cours d’histoire.
« C’est horrible, bizarre et absurde« , a réagi Dick Harrison, professeur d’histoire et auteur de livres d’histoire. « En tant qu’historien, je suis obligé de réagir. L’idée que les Anciens ne sont pas importants pour comprendre le présent est bizarre et absurde. »
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Depuis le 7 octobre 2023, CNEWS montre son vraie visage et ses limites dans l’opposition à la doxa officielle.Pascal Praud et ses « invités » n’est qu’un saltinbanque comme les autres, même s’il soulève de temps en temps des questions passées sous silence sur d’autres chaînes et si, en période Covid, il présentait les choses un peu plus honnêtement. C’est ainsi que, gagnant bien sa vie, ce présentateur sportif bavarde aussi entre deux pauses publicitaires sur la radio Europe 1.A nous de savoir le vrai du faux, les victimes les plus à plaindre, les réels méfaits des avortements, sur les femmes et la société en général.
Mouais…
L’essentiel c’est que le message soit passé.
Les communicants le savent très bien c’est la première info qui reste gravée, tout démenti ou excuse a beaucoup de mal à faire disparaître le premier message.