Les Colombiennes Manuela Gomez et Luisa Gomez en contracté un de ces faux « mariages » pour invertis et ensuite, grâce à la fécondation artificielle hétérologue, ont eu un enfant. Sur le certificat de naissance elles apparaissent ensemble comme « mères » et veulent que cela soit de même pour le certificat de baptême. Car en nos temps d’apostasie post-concile et de révolution anthropocentrique, le sacrilège et le blasphème sont monnaie courante !
Les deux dames ont ainsi fait le tour d’une dizaine de paroisses, ont essuyé refus sur refus jusqu’au moment où elles sont tombées sur un prêtre complaisant. Manuela raconte :
« Nous ne pouvions y croire mais c’était réel. Quand j’ai demandé au prêtre son opinion sur ma famille, il a dit que nous étions les bienvenues et que nous serions respectées comme famille, chose très importante pour nous. »
Le plus stupéfiant de l’affaire, c’est le placet donné par la curie archidiocésaine de Medelin à cette violation des normes canoniques. Ce qui était impensable il y a encore peu de temps est aujourd’hui dramatiquement possible…
Ainsi vogue l’Église conciliaire, d’apostasie en apostasie, d’hérésie en hérésie, pour atteindre le summum : la négation pure et simple, par une singerie diabolique de la famille naturelle, de la Création divine !
Francesca de Villasmundo
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