La gauche institutionnelle italienne, aussi décomposée que la française, se recompose autour d’une candidate noire pour la mairie de la ville de Florence lors des prochaines municipales en mai 2019, Antonella Bundu. De père de Sierra-Leone et de mère florentine, elle fait le trait d‘union entre les communistes, les socialistes, Florence Ville Ouverte, et quelques autres groupuscules extrémistes et no-border.

Antonella Bundu se définit :

« Femme, de couleur et de gauche. »

Trois traits, réalistes pour une fois en un monde gauchiste qui combat toutes formes d’identité, qui devraient aider son camp à obtenir le support des bien-pensants, hostiles au souverainisme et à la nation, hostiles à Salvini et à sa politique anti-immigration. D’ailleurs la chaîne qatari, cheval de Troie de l’islamisation de l’Europe, de la submersion migratoire et du métissage des peuples, en a fait son égérie. Le discours de la femme en question, bourré de poncifs culpabilisants pour l’homme blanc hétérosexuel, de lieux communs sur un prétendu racisme ordinaire des Italiens envers les autres, donne le ton : l’Autre, toujours l’Autre, plutôt que l’Italien de souche…

Francesca de Villasmundo

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