MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Pamela et Désirée. Des prénoms d’héroïnes de série B hollywoodienne. Des parents penchés sur leur berceau avec des doux rêves à paillettes en cadeau. Deux jeunes filles italiennes, inconnues l’une de l’autre, sœurs jumelles dans la mort, une triste mort, brutale et barbare, qui a tronqué leur jeune vie et leur jeunesse d’adolescentes lourde d’un mal-être existentiel.

Pamela et Desirée. Et leur noire mort symbole de la décadence d’un Occident qui sacrifie ses enfants au Dieu progrès nourri d’acquis nihilistes et à une immigration clandestine et agressive.

Pamela et Désirée resteront l’incarnation à jamais d’une jeunesse perdue entre des parents divorcés, la drogue comme consolation à l’absence d’unité familiale, égarée sur ces ponts bâtis pour accueillir les migrants. Des migrants africains endiablés, infréquentables, avec comme culture venue d’ailleurs la drogue et la violence la plus sauvage, sanguinaire et bestiale, cannibale.

Pamela Mastropietro est morte, abominablement assassinée. Jeune fille toxicomane de 18 ans, elle a rencontré sur son chemin des Nigérians, des clandestins, Innocent Oseghale, Lucky Desmond et Awelina Lucky. Ils l’ont droguée, ont abusée d’elle violemment, l’ont tuée à coups de couteaux et démembrée après avoir lavé son corps à l’eau de javel. L’un d’eux a même avoué qu’ils devaient en manger des morceaux, rituel tribal étranger à la terre italienne. Et ensuite ont mis les restes dans deux valises qu’ils abandonnent dans un fossé. Ils devaient se croire encore en Afrique où des bagages n’auraient pas fait long feu en bord de route... Mais nous sommes à Macerata, petite ville dans la campagne italienne où fut faite la macabre découverte le 31 janvier dernier.

Desirée Mariottini est morte le 18 octobre dernier, elle-aussi abominablement assassinée par des migrants clandestins, ces chances pour l’Europe. Elle n’avait que 16 ans, comme Pamela vivait mal la séparation de ses parents, se droguait pour oublier. Elle a rencontré sur son chemin des vendeurs de stupéfiants venus d’ailleurs, sans permis de séjour, dont la demande d’asile avait été refusée, mais qu’aucune autorité italienne n’avait pris la peine de dûment expulser. Elle a suivi ses futurs tortionnaires, ce « gang d’Africains » publient les journaux italiens, dans un local abandonné d’un quartier romain insane et ravagé par l’immigration, la drogue et les zonards gauchistes détraqués. Droguée à un mélange de plusieurs médicaments et drogues létales, une dizaine d’hommes étrangers ont abusé d’elle, sous le regard paumé d’improbables filles exotiques. Son agonie apathique a duré des heures entre violences sexuelles et brûlures de cigarette. Et après coup, ils l’ont laissé mourir sans un geste de compassion : « Mieux la voir elle morte plutôt que nous en prison » proclament aux alentours les abuseurs, les caïds des lieux, les Sénégalais Mamadou Gara et Brian Minteh, le Gambien Yusif Saila, le Nigéraien Chima Alinno. Personne n‘ose alors appeler les secours et Desirée meurt, abandonnée par terre.

Pamela et Desirée sont mortes, tuées par des migrants violents et clandestins désaxés, mais aussi par une société décadente, assujettie au sacro-saint progrès, voleur de famille, dispensateur d’un faux bonheur virtuel et d’une vraie dépendance à de multiples perversions modernes.

Pamela et Desirée sont l’effigie mortelle de l’échec de la société multi-culturelle et progressiste !

Francesca de Villasmundo

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
alexderome
il y a 6 années

Sangue chiama sangue, attention à la colère des Italiens. Pour le premier horrible crime rituel, un identaire avait tiré sur des migrants, provoquant la colère des associations gochistes. Les media français avaient parlé de cette affaire en occultant l’atroce calvaire de Pamela.

Cadoudal
Cadoudal
il y a 6 années

pauvres gamines , victimes de l’ idéologie licrasseuse , importatrice de barbares;

pauvres victimes de l’ adhésion du Mur des cons au dessein maçonnique de destruction des nations chrétiennes, en transformant nos villes en jungles peuplées de fauves féroces.

tirebouchon
tirebouchon
il y a 6 années

Qu’attendent donc les parents et les amis pour s’armer et nettoyer le corps social italien de cette vermine noire venue d’Afrique pour détruire les blancs…ils importent la haine du blanc chez nous ! Il faut dire que l’amour charnel vu et revu de Macron et son épouse, pour ces jeunes noires braqueurs ou homos, n’est pas un bon message pour éradiquer l’invasion noire venue d’Afrique…entre les égorgeurs et terroristes musulmans et les envahisseur sauvages et cannibales nous ne sommes pas sorti de l’auberge ! Il faut se réveiller, nous n’avons rien à attendre de la justice, de la police ou de l’armée ceux là ne bougeront pas….comme pendant l’occupation allemande il serviront jusqu’au bout et sans état d’âme le régime qui aujourd’hui et encore plus fou, malade et déviant que le gouvernement de Vichy. A ce jour les Français et les autres peuples européens prouvent qu’ils se comportent comme des lopettes acceptant leur soumission ! Dans ces conditions tout ce qui arrive est mérité !

LANKOU DU
LANKOU DU
il y a 6 années
Répondre  tirebouchon

Entièrement d’accord . Détruisons ces vermines La chasse est ouverte …..