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Le porte-parole du Pentagone, l’amiral John Kirby, a confirmé ce vendredi que 400 militaires américains seraient chargés à partir du mois de mars de commencer à former des rebelles syriens anti-Assad. Officiellement, ces 400 instructeurs de l’armée des Etats-Unis, accompagnés de nombreux personnels auxiliaires, se rendront en Syrie afin d’aider les rebelles à combattre l’Etat islamique.

Selon le site d’information DefenceOne, Washington attendrait de ses partenaires qu’ils fournissent également des instructeurs pour la bonne cause des rebelles syriens « modérés » à la fois anti-Assad et anti-Etat islamique.

Au vu des résultats de la politique étrangère et militaire américaine depuis le 11 septembre 2001, le pari est plutôt risqué…

Baudouin Lefranc

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4 Commentaires
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Sandrine
Sandrine
il y a 7 années

Très beau texte !

Lars
Lars
il y a 7 années

C’est vrai que l’article est intéressant. Cependant, il ne me semble pas que l’assistance qui permet la survie du petit enfant soit de l’ordre du soin, ce n’est pas comme nourrir tout simplement un bébé, ce n’est pas prévu par la nature. Alors, si encore c’était temporaire et que l’on présume le rétablissement, cela peut se concevoir, mais dans ce cas ça me paraît assez difficile : on ne fait que retarder une mort naturelle qui aurait due avoir lieu plus tôt.

En fait, je pense que là où il faut insister, c’est que même si on ne peut obliger un hôpital à continuer à prendre en charge indéfiniment l’enfant, à l’inverse, les médecins ne peuvent pas imposer leur propre décision aux parents. Si les médecins estiment qu’ils ne peuvent plus rien faire, alors rien n’empêche le père de décider d’emmener son enfant dans un autre hôpital.

Le plus contradictoire, c’est que les médecins refusent un transfert au risque d’un danger de mort de l’enfant, mais eux-mêmes reconnaissent qu’ils ne peuvent rien faire pour le soigner, le rétablir, et qu’ils sont prêt laisser la mort survenir. Même dans le cas hypothétique où l’Etat a raison, il ne pourra jamais prétendre, en droit naturel voulu par Dieu, disposer de l’enfant soumis à l’autorité paternel, sous prétexte que c’est pour le bien supérieur de l’enfant, au nom des droits individuels qui permettent, in fine, de retirer les enfants aux parents parce que ceux-ci ne les éduquent pas comme il faudrait (ils refusent par exemple de les laisser se faire corrompre par toute sorte d’idéologie mortifère).

Tuustotusegosum
Tuustotusegosum
il y a 7 années

Envoyé à complaints@gosh.nhs.uk le 01/07:

Please respect life. Please be human.

This is not your right to choose if a baby should live or not, let his parents decide!
Your decision will lead to an awful death culture, but for sure we don’t have anything else to expect coming from European Union, do we?
This is against God’s will.
I’ve prayed the rosary today for Charlie, his parents, and all the maltreated kids.

Once more. Please respect life. Please be human.
Every child deserves a chance to live.

From a catholic family father

Lasty let me add to Katie Gollop, from GOSH: it is really inhuman to say, as you did: « It is inhuman to permit that condition to continue ».